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Récap’ des dernières actus - Semaine 8

Jessica Springsteen et Zecilie. © Sportfot
Sport jeudi 23 février 2023 Mélina Massias

Le puissant El Barone s’apprête à faire ses grands débuts à compétition internationale avec un nouveau cavalier ce week-end. Mais il n’est pas le seul à faire connaissance avec un pilote inconnu. Ainsi, Unbelievable, Che Fantastica, Ginko du Rouet, Vancouver Dreams ou encore California Pie en font de même, depuis leurs ventes vers la Suisse et l’Irlande. RMF Zecilie, elle, en a terminé avec le sport, tandis que côté élevage, Clem McMahon a officialisé avoir cloné son talentueux Pacino. Retour sur les faits marquants des derniers jours.

Si Jessica Springsteen a remporté son tout premier Grand Prix 5* outre-Atlantique, à Saugerties en septembre 2016, aux rênes de l’extraordinaire Cynar VA, c’est bel et bien la pétillante RMF Zecilie qui l’a propulsée dans une autre dimension, 14 septembre 2019. Ce jour-là, sur la côte de Saint Tropez, la jeune Américaine s’est imposée face à une concurrence d’un autre niveau, à l’occasion d’une étape de la Longines Global Champions Tour. Jouant une partition parfaite, l’amazone avait doublé sur la ligne Pieter Devos, associé à Claire et Simon Delestre, juché sur son généreux Hermès*Ryan des Hayettes. Puissante et compétitive, Zecilie, qui avait signé une autre victoire majeure du côté de Bruxelles en août 2021, en a terminé avec sa carrière sportive. À seize ans, la baie va entamer un nouveau chapitre de sa vie, comme l’a confirmé sa groom, Josie Eliasson. “Z, je suis éternellement reconnaissante d’avoir fait partie de ton histoire. Tu n’es comme aucun autre cheval que j’ai rencontré auparavant ou dont je croiserai la route. J’ai été la chanceuse qui a voyagé à travers le monde avec toi. Merci pour tout, profite de ta retraite”, a-t-elle écrit en légende d’une vidéo regroupant plusieurs clichés des temps forts de la carrière de la jument Holsteiner. Alors qu’elle était réserviste lors des derniers championnats du monde de Herning, cette dernière n’avait pas été acceptée lors de la première inspection vétérinaire, avant que sa cavalière ne décide de déclarer forfait. Depuis, la paire n’avait disputé qu’un concours, à Grimaud, achevant le Grand Prix 5* dominical avec huit points au compteur.

RMF Zecilie. © Sportfot

Petite-fille de l’excellent Canturo, Zecilie est née au sein de l’élevage de Maas Johannes Hell. Disparu en 1997, l’Allemand, qui avait fondé une fructueuse station privée d’étalons à Klein Offenseth est celui qui avait repéré, un jour de janvier 1971 un certain Cor de la Bryere. Maas Johannes avait également repéré les étalons Cantus, Calido I, Lux et Landadel, pour ne citer qu’eux. Formée par l’Allemand Andreas Ripke, de ses premiers parcours jusqu’à ses premiers classements en Grand Prix 3*, la géniale baie avait ensuite transité par les écuries Kimberly Price et Denis Lynch, avant de rejoindre Jessica Springsteen en fin d’année 2017. Désormais, l’avenir de la fille d’Acolord pourrait se conjuguer à l’élevage. Si elle ne compte aucun produit enregistré sur la base de données d’Horsetelex, Zecilie est la soeur utérine de Stakantura (Stakkatol), vue jusqu’en Grand Prix 5* à dix ans la saison passée aux côtés de la Suédoise Emma Emanuelsson et de deux autres poulinières Classic CB (Classe VDL) et Cascana (Cascari), elle-même à l’origine de Chascaro (Chilsenky), un hongre de dix ans qui évolue sur sol mexicain.

La joie de Jessica Springsteen, après sa victoire à Bruxelles, acquise grâce à Zecilie. © Sportfot

Changement de bannière pour Springfield 21 et Unbelievable

Si la vente de Springfield 21 avait déjà été officialisée il y a quelques semaines, l’identité de ses propriétaires a été l’objet d’un changement le 10 février dernier. Verdict ? Les heureux propriétaires de ce petit crack ne sont autre que les écuries Evergate, gérées par Jennifer Gate. Reste désormais à savoir qui de Nayel Nassar, Harrie Smolders ou Jennifer herself - après sa grossesse - prendra les rênes du fils de Stakkato Gold. Brillant sous la selle de Thomas Ryan, le bai à la technique parfaite n’avait pas manqué de se démarquer pour sa première saison au plus haut niveau, en fin d’année dernière, déroulant des parcours plein de promesses dans les étapes de la Coupe du monde Longines d’Oslo, Helsinki, Malines et Bâle. Son pilote irlandais voyait même en lui un candidat idéal pour les championnats d’Europe de Milan, qui auront lieu dans quelques mois seulement. Qui sait, Springfield 21 fera peut-être aussi étalage de tout son talent en 2024, dans la capitale française.
 Le splendide Springfield a tapé dans l'œil des écuries Evergate. © Pixels Events

En octobre dernier, à l’occasion du CSI 5*-W de Lyon, Andreas Schou confiait fonder de grands espoirs en Unbelievable, un étalon de huit ans portant, selon les dires de son cavalier, très bien son nom. “Il est réellement incroyable. C’est un fils d’Untouchable 27 avec une mère par Cornet Obolensky (ex Windows vh Costersveld). Il a pris part à ses premières épreuves comptant pour le classement mondial et je dois dire que je n’ai jamais eu un cheval comme lui. Il a des moyens, sa maniabilité est excellente et il est respectueux. Je crois sincèrement qu’il a tout. Si tout se passe bien, il pourrait être mon prochain cheval de championnat”, assurait-il. Depuis quelques semaines, le puissant bai évolue sous couleurs suisses. En effet, la jeune Géraldine Straumann, dix-huit ans et vice-championne d’Europe Junior par équipe en 2021, a disputé ses premiers parcours avec son nouveau complice, à l’occasion d’une série de concours organisée à San Giovanni, en Italie. En cinq parcours, le néo-duo est passé de parcours à 1,20m à 1,40m, sortant de piste sans renverser la moindre barre. Associé à son cavalier danois, Unbelievable, né chez Thomas Jensen, avait pris le départ de ses premières épreuves à 1,45 et 1,50m en fin d’année et évolué sur ses premiers événements 5* à Stuttgart, Genève et Bâle. Visiblement talentueuse, Géraldine Straumann, qui a déjà goûté aux joies des CSI 5* et couru jusqu’en Grand Prix 4*, a de quoi se réjouir pour l’avenir.


Unbelievable à Genève. © Sportfot




Direction l’Irlande pour Che Fantastica, Ginko du Rouet et Vancouver Dreams

Partenaire de Philipp Weishaupt, avec qui elle s’est classée jusqu’en Grands Prix 5*, Che Fantastica, propriété jusqu’alors des écuries Beerbaum, a rejoint l’Irlandais Michael Duffy, selon une information de St Georg. D’ores et déjà arrivée à Doha, l’alezane de quatorze ans, qui a connu deux saisons de compétition très allégées en 2020 et 2021, fera ses débuts sous la selle de son nouveau cavalier ce week-end, à l’occasion du premier des deux CSI 5* organisé dans la péninsule arabique. Fille du chic Check In 2, la représentante du stud-book oldenbourg a retrouvé le haut niveau il y a quelques mois seulement, après en avoir été éloignée pendant près de trois ans. En 2019, date de sa dernière saison complète en tant que sportive, Che Fantastica avait à Oslo, Helsinki, Stuttgart et La Corogne, se classant cinq et sixième de ces deux dernières étapes de la Coupe du monde Longines. Pour Michael Duffy, cette recrue vient garnir son piquet de chevaux. Cavalier au sein des écuries de Trevor Breen, le représentant de l’île d'Émeraude n’est plus apparu en compétition avec Zilton SL, son complice des derniers championnats d’Europe Longines, depuis mai 2022.
 Che Fantastica et Philipp Weishaupt. © Sportfot

Vice-champion de France à quatre ans, puis lauréat du Masters des étalons de Saint-Lô à cinq ans, en 2021, Ginko du Rouet s’est envolé vers de nouvelles aventures. L’alezan, fils de Vagabond de la Pomme et évidemment issu de la souche de Baloubet du Rouet, illustre gloire de la famille Fardin, a fait connaissance avec Mark McAuley, son nouveau pilote, à San Giovanni. Pour ses toutes premières apparitions internationales, l’étalon de sept ans, formé en France par Gautier Pitiaux et Christophe Lemoine, a aligné trois parcours parfaits à 1,35m. “Voici une page qui se tourne. Notre protégé, Ginko du Rouet, prend un nouvel envol dans une écurie 5*. Nous sommes heureux de le voir continuer, espérons, une belle carrière sportive. Félicitations aux acquéreurs, les écuries de la Tuilière. Et bien sûr, bonne route à lui et Mark McAuley”, a écrit l’équipe de l’élevage du Rouet.
 Ginko du Rouet lors du salon des étalons de Saint-Lô, en 2022. © Mélina Massias

Darragh Kenny, lui, n’a pas perdu de temps pour découvrir sa nouvelle complice : Vancouver Dreams. Et c’est le moins que l’on puisse dire ! Pour son premier parcours international, disputé sur des barres à 1,45m le 16 février dernier, le néo-duo a pris la deuxième place, avant de s’octroyer son premier succès commun deux jours plus tard, cette fois à l’occasion d’une épreuve à barrage à 1,50m. Depuis ses débuts sur la scène mondiale, en 2016, l’alezane de treize ans, fille de Valentino et petite-fille de Stakkato, n’avait jamais quitté les écuries de Max Kühner. Avec l’Autrichien, elle n’avait obtenu qu’une seule victoire notable, à Doha, en mars 2021, sur des barres hissées à 1,45m. Du reste, l’Hanovrienne a disputé quelques Grands Prix 4 et 5*, ne filant au barrage qu’à une reprise en sept tentatives. Dans les deux épreuves où Vancouver Dreams a fait connaissance avec son nouveau pilote, un hongre de onze ans l’a imitée : California Pie, né Capitano. Montée par Joel Charton depuis ses sept ans, puis passée quelques temps aux rênes de Jérôme Hurel, le gris par Captain Cooper et Raissa, qui a aussi produit Lukas 1054, classé jusqu’en Grand Prix 5* avec Christian Kukuk il y a quelques années, s’est offert deux dixièmes places avec la complicité de Darragh Kenny. 

Darragh Kenny et California Pie. © Sportfot Darragh Kenny et Vancouver Dreams. © Sportfot

El Barone 111 engagé avec Jens Fredricson à Göteborg

L’exceptionnel El Barone 111 va faire ses débuts aux côtés de Jens Fredricson Le talentueux Suédois, de retour au sommet depuis quelques mois grâce à son efficace Markan Cosmopolit, qui lui avait notamment permis de grimper sur le podium de la dernière finale de la Coupe du monde Longines, à Leipzig, récupère là une sacrée cartouche. Parfois débordée par son ancien complice, Malin Baryard-Johnsson a passé le flambeau. Depuis cet hiver, son homologue scandinave partage régulièrement des vidéos des entraînements du fils d’Emerald van’t Ruytershof et Nakitbro (Libero H). Cette fois, tous deux vont plonger dans le grand bain, à l’occasion du CSI 5*-W de Göteborg, qui a débuté jeudi 23 février. Passée presque inaperçue, l’annonce de ce transfert avait pourtant été officialisée par Lövsta Stutteri, station de monte propriétaire du puissant bai foncé, en novembre dernier. “El Barone 111 est un sauteur fantastique mais un cheval puissant et nous avons décidé avec Malin qu'un changement de cavalier peut lui faire franchir une nouvelle étape vers son plein potentiel. Je vais travailler pour lui pendant l'hiver et nous verrons si nous nous entendons”, avait alors commenté Jens. Force et de constater que le courant est passé entre les deux parties ! Absent des terrains internationaux depuis août dernier, le représentant du stud-book Zangersheide a déjà goûté aux joutes de haut niveau en se classant quatrième d’une épreuve à 1,55m et en disputant quatre Grands Prix 5*, sans toutefois connaître une grande réussite.
 Le talentueux et délicat El Barone 111, ici sous la selle de Malin Baryard-Johnsson. © Sportfot



Stéphanie Holmén prête à prendre son envol

La semaine dernière, pendant que les écuries Grevlunda annonçaient la retraite du légendaire H&M All In, Stéphanie Holmén, elle, faisait part, auprès de nos consœurs de World of ShowJumping de sa volonté de s’installer à son compte. Pour l’heure, l’amazone poursuit ses missions au sein de la structure suédoise, missions qu’elle remplit depuis bientôt une décennie. “Cet été, cela aurait fait dix ans que j’étais à Grevlunda. Et cela a été fantastique. Je n’aurais pas pu trouver un meilleur endroit où travailler. Lisen et Peder sont tous deux des personnes formidables. Ils ont fait de moi la personne et la cavalière que je suis aujourd’hui. Pour l’instant, nous avons seulement décidé que j’allais partir, mais pas encore la date exacte. Nous allons d’abord trouver mon ou ma remplaçante. [...] J’espère que nous pourrons continuer à collaborer à l’avenir, d’une manière ou d’une autre”, a confié la jeune femme à World of ShowJumping. “Je vais démarrer une activité de mon côté, mais je ne sais pas encore exactement sous quelle forme. [...] Mon rêve est de trouver des propriétaires qui me soutiennent à long terme, comme Astrid (Ohlin, ndlr) l’a fait avec Flip’s Little Sparrow, afin que j’aie ma chance à haut niveau. Je sais que je vise les étoiles, mais je m’autorise à le faire.” Après l’annonce de la retraite de sa chère Flip’s Little Sparrow, Stéphanie Holmén, gagnante jusqu’en Grand Prix 5*, amorce un important virage dans sa carrière.

Flip's Little Sparrow et Stephanie Holmén. © Sportfot

Le Sunshine Tour prend ses précautions

Alors que la situation semble bien gérée du côté d’Oliva, où, pour rappel, quatre chevaux ont été testés positifs à rhinopneumonie équine de type HEV-1, le Sunshine Tour, une autre tournée espagnole très prisée des cavaliers, a annoncé prendre des mesures de précaution. Ainsi, quatre chevaux, qui ont fréquenté les installations du Mediterranean Equestrian Tour (MET) ont été sommés de rentrer chez eux, jeudi 23 février, bien qu’ils ne présentent aucun signe clinique de la maladie. Et d’ajouter : “Nous réaffirmons qu'aucun cheval ayant concouru à Oliva au cours des quinze derniers jours ne sera autorisé à participer au Sunshine Tour. Aucun individu présentant de la fièvre, ou tout autre symptôme lié au virus, n'est actuellement présent dans nos installations. Pour tout cheval, l'accès à nos installations ne sera pas autorisé sans la présentation d'un test négatif pour le virus HEV-1 effectué dans les quarante-huit heures précédant l'arrivée de ce cheval. Les chevaux en transit vers le concours seront testés à leur arrivée.”

Bienvenue, Pacino II

Né Eldiam de Rêve (Diamant de Semilly x Muguet du Manoir), en Belgique, voilà dix-neuf ans, Pacino a un clone. Déjà âgé de trois ans, Pacino II est longtemps resté loin du feu des caméras, avant que Clement, dit Clem, McMahon, ancien cavalier de Pacino, ne révèle la nouvelle au grand jour, le 17 février dernier. Dix ans après la disparition de l’étalon original, en raison d’une insuffisance rénale, l’éleveur a révélé son précieux trésor aux journalistes et photographes de The Irish Fieldquelques jours après une visite pleine d’émotions de Frans Van Mert, l’homme derrière l’affixe de Rêve.  Pacino et Clem McMahon lors du championnat du monde réservé aux chevaux de six en 2010, à Lanaken. © Sportfot

Frère utérin d’Hermès de Rêve (Quito de Baussy) et Malito de Rêve (Cumano), Pacino est également issu de la souche maternelle la géniale VDL Groep Shapphire et de l’étalon Cacao Courcelle. À l’origine, notamment, du généreux Pacino Amiro (mère par NC Amiro), conduit au plus haut niveau par l’Irlandais Bertram Allen, ou encore EIC Cooley Jump The Q (mère par Obos Quality 004), délicate pépite de Max Kühner, Pacino a finalement été peu utilisé par les éleveurs, la base de données Horsetelex répertoriant moins d’une centaine de descendants. Dès avril, son clone, qui, selon Clem McMahon, ressemble de façon presque déconcertante à sa copie originale, sera donc proposé aux éleveurs, avant, peut-être, d’embrasser une carrière sportive.

Pacino Amiro, le meilleur fils de Pacino, sous la selle de Bertram Allen. © Sportfot




Le sang de Diamant récompensé à l’approbation Zangersheide

Alors que le salon des étalons de sport de Saint-Lô était en pleine préparation, comme chaque année, l’approbation Zangersheide a décidé d’organiser en parallèle son événement, dans les installations d’Opglabbeek, les 17 et 18 février derniers. Eric Levallois, Heinz Meyer et Luc Tilleman, venus respectivement de France, Allemagne et Belgique ont évalué les mâles de trois ans et ont fait émerger les trente-cinq meilleurs d'entre eux. Parmi les origines très en vue, figure évidemment le sang de Diamant de Semilly, qui a déjà fait un carton du côté du Holstein début février, notamment en sacrant champion un certain Diamantado. En père, en père de père grâce à ses fils Dominator 2000, Emerald van’t Ruytershof et Don VHP ou en père de mère, le Selle Français, disparu il y a un peu plus d’un an, reste très prisé chez les éleveurs. La preuve, seize des trente-cinq étalons admis portent une partie de ses gènes ! À domicile, ou presque, Aganix du Seigneur confirme quant à lui sa montée en puissance, grâce, entre autres, à Agalord KCX Berghoeve, cédé aux enchères pour 162.000 € après son titre de vice-champion de l’approbation westphalienne en fin d’année dernière derrière Con Touch (Conthargos x Casall), Agassi VS, Ambassador ou bien encore Do It vd Berghoeve, un descendant de Dourkan Hero, lui-même fils d’Aganix. Parmi les incontournables, la lignée de Cornet Obolensky (ex Windows vh Costersveld) reste bien présente, avec le tout bon J O, vendu lors des ventes Fences et né chez Sophie de Alexandris et Julien Calm, désormais approuvé au Zangersheide, tout comme Uranis vd Brouwershoeve (Balou du Reventon, ex Cornet’s Balou), le brillant et prometteur Commilf’Oh de la Marchette, un fils de Comme Il Faut et Oh d’Eole, présent sur le catalogue de Grégory Wathelet et Gilles Botton, ou Up To Date van’t Eigenlo (Cornet du Lys). Untouchable 27, Casall et Chacco-Blue ont également vu leurs couleurs être bien défendues lors de cette approbation.

La liste complète des étalons agréés à reproduire au stud-book Zangersheide ici.

Photo à la Une : Jessica Springsteen et Zecilie. © Sportfot