Grosse surprise et grand tournant pour la carrière de Brecht Bille qui a décidé de quitter les écuries Hunters où il s'est fait connaître en laissant derrière lui les étalons Scendix et son fils Scendro pour s'engager aux sein des écuries de Gilbert De Roock.
"Actuellement, Scendix est blessé et un jour Enjoy Louis sera vendu. Nous avons longuement discuté avec mes propriétaires et nous avons pensé que c'était la meilleure décision pour chacun d'entre nous. C'est un énorme changement pour moi. Chez Gilbert, évidemment que les chevaux seront également vendus mais il y en aura toujours de nouveaux aussi. L'écurie possédera toujours un bon piquet de chevaux de haut niveau et cela va me permettre de participer à de beaux concours. C'est dur de quitter des chevaux comme Sendix ou Scendro mais à un moment, il faut faire un choix. Je ne m'en fais pas pour le cavalier qui les récupèrera. Ce sont des machines, avec des chevaux comme eux, c'est facile de faire du concours et il n'y aura pas de problème à me succéder." nous expliquera Brecht Bille.

La championne de France des 7 ans, Shana de Kerglenn (Diamant de Sémilly) a rejoint les écuries de Philippe Léoni en début de semaine où elle a rejoint Aberdeen (Araconit), acquis quelques semaines plus tôt. Le couple a débuté ce week-end à Aix Meyreuil avec trois parcours sans-faute à la clé avec une 5ème place le second jour et une 4ème dans le Grand Prix des 7 ans.
"Shana est arrivée lundi aux écuries, j'ai eu le temps de faire cinq sauts avant d'aller au concours puisque j'ai profité du concours d'Aix Meyreuil où j'habite. Je m'entends déjà très bien avec elle comme les résultats en attestent. C'est une super jument de concours avec un mental formidable. Elle a été très bien préparée par Jean Le Monze et le mérite lui en revient ainsi qu'à l'éleveur de la jument qui a su l'amener jusqu'ici. Le Grand Prix des 7 ans était une belle épreuve à 1m40 alors évidemment notre performance en montant le cheval au pied levé n'est pas mal mais j'ai été prudent dans la manière d'aborder mon week-end. Cela fait six mois que je me suis remis à cheval et j'ai décidé de repartir avec deux bons sept ans. Avec Aberdeen que j'ai acheté chez Hubert Bourdy et Shana, je pense avoir trouvé ce que je désirais. Je ne prendrai pas de troisième cheval, je veux me limiter à deux chevaux pour que ce soit plus gérable pour mon emploi du temps. Après un break de 4 ans, la compétition me manquait mais je ne veux plus retomber dans un système semi-professionnel comme c'était le cas par le passé où je vivais deux vies parallèles mais où cela a été extrêmement fatiguant physiquement et psychiquement pour moi. Aujourd'hui, j'ai des ambitions mais en équitation il faut être humble. Je pense avoir deux chevaux de très bons niveau ce qui va me permettre de ne pas aller en concours tous les week-end mais de choisir de beaux concours. Je me vois plus aujourd'hui comme un amateur éclairé. Je travaille toujours pour le fond d'investissement "Latour Capital" que j'ai créé il y a quelques années." nous expliquera le cavalier ancien membre de l'équipe de France et homme d'affaire brillant.

Ce n'est pas le seul départ des écuries de Jean Le Monze puisque Outlaw du Carpont (Jivarot du Rouet x Kayack) avec qui il évoluait en Grand Prix** vient d'être vendu au Mexique.

Les deux montures de Pro Horse International, la holsteiner Clever Lady (Cassini I), 2ème du Grand Prix*** de Lummen en ce début de saison et le oldenburg Bayamo (Balou du Rouet), classé dans le Grand Prix*** d'Ascona quitte les écuries de Trevor Coyle qui les a amené jusqu'en Grand Prix mais qui a décidé avec son propriétaire de les confier à un autre cavalier ne recevant pas suffisamment de sélection pour évoluer au plus haut niveau. Du coup, les deux montures retrouveront d'autres chevaux des écuries Pro Horse International chère à François Leiser chez le cavalier helvétique Pius Schwizer. Ce dernier avait connu de très belles victoires avec Carlina et Ulysse sous les mêmes couleurs et monte également aujourd'hui Duc de Mariposa ou encore la très bonne Rafale des Forêts.

Rendez-vous incontournable de l?équitation en Suisse romande, le Concours Hippique International de Genève aura lieu du 12 au 15 décembre prochain. Des compétitions de haut niveau, avec le Grand Prix Rolex comptant pour le tout nouveau Rolex Grand Slam of Show Jumping, mais aussi le Credit Suisse Grand Prix ou encore le Défi des Champions©, seront au programme. Huit cavaliers régionaux ont obtenu, quant à eux, une wild card pour évoluer dans la cour des grands. Et la Garde Républicaine, dernière unité montée de l?armée française, sera l?attraction principale avec des démonstrations de grande qualité.

Le cheval reprend ses droits à Palexpo, du 12 au 15 décembre prochain. Le Concours Hippique International de Genève y proposera sa 53e édition avec un programme mélangeant toujours habilement compétitions relevées et épreuves plus ludiques. Chaque jour aura son temps fort, à commencer par le Geneva Classic du jeudi soir, une épreuve qualificative pour le Grand Prix Rolex et le Défi des Champions© et comptant pour le classement mondial. Il en sera de même pour le Credit Suisse Grand Prix, disputé en soirée le vendredi. La Coupe de Genève, prévue en début d?après-midi le samedi, sera aussi déterminante pour le Grand Prix Rolex et rapportera également des points pour les cavaliers au classement mondial.

Le samedi soir, les projecteurs seront focalisés sur le 3e Défi des Champions©, une épreuve créée en 2008 de toute pièce par les organisateurs genevois. Cette compétition unique permet de confronter les derniers champions et détenteurs de titres majeurs à ceux qui auront été les plus performants dans le Geneva Classic et le Credit Suisse Grand Prix. Enfin, le Grand Prix Rolex, l?une des trois épreuves du Rolex Grand Slam of Show Jumping, attirera l?attention de tous, le dimanche. Le Britannique Nick Skelton, vainqueur d?Aix-la-Chapelle, n?a pas participé à Calgary, alors que le Belge Pieter Devos a déclenché son compteur au Canada pour décrocher le graal des cavaliers de saut d?obstacles. Mais il y a fort à parier que la concurrence sera rude à Genève ! Le programme n?oublie pas pour autant les épreuves traditionnelles que le public apprécie, comme les Six-Barres (Prix ticketportal), la Grande Chasse (Prix Starling Hotel Geneva) et le relais cheval-poney. Et cette année, le knock-out (Prix Tribune de Genève) fait son retour le vendredi soir.

Huit wild cards déjà attribuées
Si les cavaliers engagés ne sont pas encore connus, le public peut être déjà assuré de voir les meilleurs à Genève. Les cavaliers régionaux et détenteurs d?une wild card sont pour leur part presque déjà tous connus. Trois ont obtenu le précieux sésame lors des CSI*** de Crans-Montana (Jessy Putallaz) et de Verbier (Fanny Quéloz), ainsi que lors des Championnats suisses de Lugano (Frédérique Fabre Delbos). Quatre autres cavaliers se sont montrés très réguliers tout au long de la saison et peuvent donc participer à certaines épreuves du CHI de Genève. Il s?agit des Fribourgeois Faye Schoch et Beat Grandjean, de la Genevoise Julie Jucker, ainsi que du Jurassien Alain Jufer. Une superbe façon pour tous ces cavaliers de terminer en beauté leur année. La wild card attribuée à un cavalier de Rhône- Alpes est, quant à elle, revenue à l?expérimenté Michel Robert.

L?attelage en force
La Coupe du monde d?attelage, disputée le dimanche en fin de matinée, remporte toujours un vif succès auprès du public. Cette épreuve, comme la pré-qualificative du vendredi, est disputée au rythme de musiques entraînantes avec en prime et en direct les injonctions des meneurs à leur quatre chevaux. Et cette année, les meneurs auront aussi droit à leur relais cheval-poney. Là aussi, il y aura du sport!

La Garde Républicaine en exclusivité en Suisse
En décembre prochain, Genève proposera à quatre reprises des démonstrations de la Garde Républicaine. Dernière unité montée de l?armée française, le régiment de cavalerie de la Garde Républicaine est célèbre bien au-delà des frontières de l?Hexagone. Uniques en Suisse, les démonstrations effectuées à Genève se présenteront sous forme d?un carrousel des lances, ainsi que d?un carrousel mixte motards-chevaux. La cavalière française de dressage, Alizée Froment, et la danseuse étoile Aurélia Lefaucheux apporteront une touche toute féminine au programme des attractions. Ces dernières ne seront à manquer sous aucun prétexte!

Communiqué chi-geneve.ch

Grosse perte pour la famille Arroyave qui a perdu hier son grand espoir, la jument de 8 ans Florida van Paemel (Cicero Z van Paemel).
"C'est vraiment très triste et je ne comprends toujours pas. Ces dernières semaines, Florida était en pleine forme et sautait de mieux en mieux. Nous devions partir ce week-end à Dunkerke avec l'idée de lui faire faire son premier Grand Prix. Je lui ai accordé un jour de repos et nous l'avons mise au paddock. Tout se passait bien puis elle s'est couchée tout à fait normalement mais ne s'est jamais relevée. Notre vétérinaire est arrivé dans les 10 minutes qui suivent mais il n'y avait rien à faire. Cela arrive évidemment toujours avec les chevaux pour lesquels on a le plus de motivation, c'est la vie." réagira le Dayro Arroyave qui aura fait sensation dans la finale de la coupe des nations à Barcelone mais qui a également débuté la semaine dernière une nouvelle collaboration avec Kremer Pro Equestrian suite au départ de Delphine Goemaere. "Dan Kremer m'a confié plusieurs chevaux de 7 et 8 ans qui sont assez sympa dont Renato du Jardin qui a montré de belles choses lors du CSI** de Strazeele."

Info Studforlife.com

Ce week-end, l'actualité équestre se trouvait sur l'hippodrome de Longchamps avec le prix de L'arc de Triomphe et sa dotation de 4.800.000 euros. L'un des outsiders, l'Allemand Novellist, a dû déclarer forfait samedi étant fiévreux. C'est donc un duel entre le japonais Orfèvre - Trève qui allait régler cette 92ème édition. Trève (Motivator) dominera la course de la tête et des épaules renvoyant son concurrent japonais à 5 cinq longueurs. Une belle victoire pour son jockey, Tierry Jarnet qui remporte ici son troisième succès, 19 ans après sa dernière victoire, en remplaçant au pied levé Lanfranco Dettori blessé. Son entraineuse, Christiane Head-Maarek dite "Criquette" remporte son deuxième prix de l'Arc de Triomphe, 34 ans après son premier succès où le jockey n'était autre que son fère, Freddy Head, 4 fois vainqueur de l'épreuve et aujourd'hui reconverti en entraineur.
Trève, qui appartient aujourd'hui au Cheikh Joaan Al Thani, avait été présentée aux ventes Yearling d'octobre d'Arqana montant jusqu'à 22.000 euros ... mais sans trouver preneur, elle repartira avec son éleveurs, Alec Head qui la confie à sa fille pour l'entrainement. Après avoir remporté le prix Diane en compagnie de Thierry Jarnet, elle change de casaque en étant vendue au Cheikh Joaan Al Thani qui la laisse à entrainement chez Christiane Head mais la confie à son jockey Lanfranco Dettori. Malheureusement, ce dernier se fracture l'astragale et Thierry Jarnet remonte la jument à l'occasion du Prix de l'Arc de Triomphe pour offrir une première victoire à son propriétaire dans cette course mythique avec une pouliche toujours invaincue en course réalisant le triplé prix de Diane - prix Vermeille - Arc de Triomphe.

photo Pierre Costabadie

Grande tristesse pour l'élevage du Vieux Noyer de Michel Aubertin, sa reine Fanny du Murier (Laudanum xx x Uriel) n'est plus. Mère des étalons Querio de Toscane, Ucello de Toscane mais surtout du performer Jadis de Toscane qui évolue en CSI sous la selle de Philippe Rozier ou encore sa propre soeur Karla de Toscane, championne de France des 7 ans et mère de Quarela de Toscane que l'on retrouve en coupe des nations sous couleurs espagnoles. Fanny est également la grand-mère des étalons Songe et Tchouk de Toscane ainsi que du très bon Telk de Toscane.
La mère de Fanny, Toscane, était également la mère de l'étalon Duc du Murier mais surtout la propre soeur de Karielle, mère du crack Dollar du Murier.

La France a remporté ce dimanche la finale de Barcelone dotée d'un million et demi d'euros ! Les scores de l'épreuve qualificative ne comptent plus, tout se déroule sur une seule manche. L'équipe de Philippe Guerdat devance le Brésil qui aura pu compter sur Rodrigo Pessoa en grande forme aux rênes d'une Citizenguard Cadjanine Z retrouvée malgré une petite faute tout comme Alvaro de Miranda avec AD Bogeno alors que Marlon Zanotelli aura juste été pénalisé d'un point de temps avec Clowni.
L'irlande prenant la troisième place avec une faute de chacun de ses cavaliers et un meilleur chronomètre que la Hollande. Les deux seuls cavaliers à avoir réalisé un double sans-faute lors de la qualificative et la finale, Scott Brash et Eric Lamaze, se sont partagé le bonus de 200.000 euros !

"Je suis évidemment très heureux de mon équipe. Maintenant, cette finale n'a rien à voir avec un championnat et personnellement, j'aurais préféré un titre de champion d'Europe où nous avons échoué pour 3 points. Je pense avoir une responsabilité car vu les problèmes à répétition des français sur la rivière, j'avais décidé de ne pas faire d'entrainement spécifique pour ne pas se focaliser sur cela. C'était une erreur mais il n'y a qu'en essayant des choses que l'on s'en aperçoit. Je ne retire pas ce que j'ai dit avant cette finale parce que nous l'avons gagné ... mais je ne veux pas craché dans la soupe non plus. Je pense toujours que ce serait plus juste de faire un format en deux manches d'autant que je ne trouve pas normal que des équipes ne se qualifient pas pour la finale à cause du chronomètre mais c'est vrai que cette finale était palpitante. Sur mon équipe, je ne peux pas dire grand chose de négatif. Vendredi soir, j'ai eu une discussion avec Aymeric de Ponnat car je trouvais qu'il avait été en dessous de son niveau de cette saison et finalement, cela a peut-être porté ses fruits puisque dimanche, c'est lui qui effectue ce parcours sans-faute qui nous offre la victoire. Maintenant que les choses soient claires, je ne lui en aurais pas voulu si il avait fait une faute." réagira le sélectionneur de l'équipe de France qui n'avait pas manqué de faire un crochet samedi par Fontainebleau pour suivre la deuxième manche du championnat de France. "Ce que Gregory Cottard a réalisé n'est pas anodin. Ce titre va lui permettre de sauter dans des concours comme Lyon, Bordeaux ou encore La Baule. Cela ne lui garanti en rien une place en équipe de France mais ça lui ouvre les portes pour se frotter aux meilleurs. C'est un jeune garçon travailleur avec une bonne jument, c'est un couple intéressant."

Photo hippofoto.be

Gregory Cottard aura résisté à la pression pour s'offrir un premier titre de champion de France à 35 ans en selle sur Pepyt des Elfs (Landsturm) qu'il a fait naitre. Le Francilien devance Marie Hécart sur Myself de Brève (Quidam de Revel) et son père, champion de France sortant, Michel Hécart sur Pasha du Gue (Dollar de Pierre).
Joint ce matin par téléphone, le champion de France était déjà à cheval. "Je dois bien admettre que je n'ai pas très bien dormi mais j'étais au travail ce matin à 7h30. La vie reprend son cours ... même si j'ai encore du mal à réaliser. Je travaille pour Marie-Caroline Besins depuis 4 ans et elle s'investit énormément pour moi. Aujourd'hui, c'est aussi grâce à elle si j'en suis là et je tiens vraiment à la remercier.
Je ne suis pas un grand éleveur mais j'ai eu quatre produits avec la mère de Pepyt dont deux que j'ai vendu. Cette année, j'ai une porteuse pleine d'un transfert d'embryon de Pepyt avec Armitages Boy. J'ai la chance de vivre le rêve de chaque éleveur. Il y a trois ans, j'étais cavalier Pro2 puis lorsque Pepyt a eu 8 ans, elle m'a fait débuté le circuit du Grand National. Nous n'avions pas d'expérience ni l'un, ni l'autre à ce niveau mais nous avons remporté notre premier Grand Prix 1m50. L'année suivante, j'ai reçu ma chance pour participer à des coupes des nations de seconde league où nous avons été de plus en plus performant. Je trouve que notre progression s'est passée très vite. Aujourd'hui, ce titre, c'est un rêve mais pas une finalité. Grâce à cela des portes se sont ouvertes et je vais tout faire pour y arriver. J'ai également d'autres chevaux de ma propriétaire pour épauler ma jument comme Rockstar de B'Neville (8 ans par Quick Star), Cassidee (Cortus) mais aussi deux très bons 6 ans.
Ce wee-end, nous avons eu de la chance avec la météo car si il a plu énormément samedi soir, nous n'avons pas monté sous la pluie. J'étais deuxième à l'issue de la chasse mais le cheval de Matthieu Billot qui était en tête s'est blessé. Lors de la seconde épreuve, je fais une faute sur le numéro un. J'étais fâché sur moi mais j'étais 5ème avant les deux manches du dimanche. Lors du premier tour, ma jument réalise le sans-faute même si je ne l'ai pas bien montée et qu'elle a dû être vraiment généreuse. Lors de la dernière manche, en rentrant en piste, je savais que j'avais deux fautes d'avance et même si je fais une petite faute sur l'entrée du triple, c'est avant tout un moment de joie et de bonheur que je retiens."

18 nations ont pris le départ ce vendredi dans la finale de la Furusiyya FEI Nations Cup. L'équipe du Brésil de Jean-Maurice Bonneau en sortira avec une belle victoire malgré l'élimination sur chute d' Eduardo Menezes (Calvada) car Rodrigo Pessoa sur Citizenguard Cadjanine Z (Canabis Z) et Alvaro de Miranda sur AD Bogeno (ex Queen's Lover Hero; Baloubet du Rouet) auront réalisé le parcours sans pénalité alors que Marlon Zanotelli écope juste d'un point de temps dépassé sur Clouwni (Colman). Ils devancent les Pays Bas et la Belgique 3ème avec un sans-faute de Jos Verlooy avec son Domino vd Middelstede (Thunder vd Zuuthoeve) à égalité de point avec la France, la Grande Bretagne et l'Irlande. Le Canada et l'Ukraine étant les deux derniers pays qualifiés. Les USA devront se contenter de la consolante du samedi alors qu'ils pointaient à égalité de points avec ces deux dernières nations mais le chronomètre aura fait la différence. Pour la finale dominicale, les chefs d'équipe ont la possibilité de rentrer leur cinquième homme dans l'équipe à la place de l'un des autres cavaliers... Qui s'y risquera ?

Les acheteurs auront le choix ce week-end. En Belgique, c'est la Flanders Foal Auctionqui ouvrira le bal ce vendredi avec 12 poulains et deux embryons. L'un est issu d'une fille de la jument de Grand Prix Electra van't Roosakker et l'autre de la mère du vainqueur de la finale de coupe du monde 2013 Simon. Parmi les poulains de la vente, on retrouvera un frère de Ciske van Overis, un fils de la propre sœur du cheval de Grand Prix Uchingo d'Esquelmes, une fille d'une sœur d'Asca Z ou encore un produit d'une propre soeur d'Arko III... Organisée à Bonheiden en parallèle du CSI**, la vente sera retransmis en direct ce vendredi dès 20h30 sur http://www.clipmyhorse.de.

Le lendemain, ce sera au tour de la seconde édition des Woodland's International Salesqui aura lieu samedi dès 20h à Koningshooikt près de Lier.
La vente débutera avec la mise aux enchères d'un embryon d'un propre frère ou d'une propre sœur du crack Selle Français, Laam de Fetan avant le passage aux enchères de 20 chevaux de 4 à 6 ans triés sur le volet. La vente sera retransmise en direct sur horse-live.com.

Au même moment en Allemagne, dans les installations du Gestut Klatte auront lieu les 12ème ventes ESI où pas moins de 60 poulains et 26 chevaux de sports seront également proposés aux enchères. Les poulains et les chevaux seront présentés samedi à partir de 13h alors que les enchères débuteront à 19h. Le tout sera retransmis en direct sur http://www.clipmyhorse.de.