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Sport mercredi 9 avril 2014
Tymoon prend sa retraite.
Sport mardi 8 avril 2014
Etoile du Château s’est éteinte.
Fille de Le Tot de Sémilly et sœur utérine de la célèbre Sophie du Château, mère du crack Itot du Château, Etoile du Château a elle-même connu ses heures de gloire. Confiée à Robert Breul par son propriétaire Denis Rossetti dans son année de 6 ans, la jument connaîtra une belle carrière internationale avant de se consacrer à l’élevage. « A 7 ans, je l’ai emmenée avec moi au Sunshine Tour où elle a remporté la finale des chevaux de son âge. L’année suivante, elle m’a accompagné au Danemark à Ikast où je devais participer à la coupe des nations avec mon cheval de tête de l’époque, Caprice d’Elle, mais une fois sur place ce dernier s’est mis à boîter. J’ai donc décidé de la lancer dans le grand bain. Nous avons pris la troisième place de la coupe des nations puis la 9ème place du Grand Prix avant de nous rendre à Falsterbo en Suède. C’était une très bonne jument avec un très bon caractère et nous avons fait un bon bout de chemin ensemble en évoluant sur toutes les plus belles pistes du monde. A 11 ans, ses propriétaires ont décidé qu’il était temps qu’elle rentre à l’élevage car c’était leur vocation première. C’était leur première jument avec laquelle ils ont débuté l’élevage de Montsec. » A cette époque, Itot du Château a 7 ans et débute sa carrière internationale. Etoile du château a déjà produit quelques poulains avant sa carrière comme la très bonne Komédie de Montsec qui évoluera sous la selle de Jean-Marc Nicolas pour le compte du haras de Pléville avant d’être vendue aux USA. Lors de la cessation d’activité du haras de Montsec, Valérie Allix fera l’acquisition d’Etoile qui lui donnera un mâle de Chin Chin ainsi que deux pouliches, avant de la laisser partir vers le RBC Stud de Charlyne Rihm dans la Moselle en Lorraine. Malheureusement, la jument ne donnera plus d’embryon et la semaine dernière, sa santé déclinant, la décision de l’euthanasier devint inévitable. Elle laisse derrière elle les étalons Qapitol et Regent de Montsec qui évoluent tous deux sur le circuit international.

Sport lundi 7 avril 2014
Seoul adjugé à 307.500 euros.
Cette fois, c'est terminé. Personne n'aura finalement fait d'offre pour acquérir la totalité des chevaux. La somme record reste évidemment pour London avec ses 8.600.000 euros auxquels il faut encore ajouter 2% de frais de ventes et la TVA.

Derrière, les prix des autres montures d'Eurocommerce auront été beaucoup plus terre à terre avec "seulement" 210.000 euros pour New Orleans et 307.500 euros pour Seoul qui a déclenché un intérêt tardif, mais animé. Vingino étant adjugé pour 305.000 euros et l'ancien crack Berlin pour 122.000 euros, Callahan sera adjugé 180.000 euros et la monture d'Albert Voorn, Tobalio, 175.000 euros.

Geneve (Ahorn x Ariban) 2.500 euro
Monaco (Locato x Romino) 3.500 euro
Montreal (Athlet Z x Cor de la Bryere) 4.600 euro
Tokyo (Wolfgang x Naturel) 19.000 euro
Pennsylvania (Gambrinus x Pilot) 23.500 euro
Sacramento (Leendert x Corland) 38.000 euro
Colorado (Darco x Voltaire) 50.000 euro
Lexington (Andiamo x Dageraad) 51.000 euro
Osaka (Washington x Accarat) 52.500 euro
Zagreb (Querlybet Hero x Heartbreaker) 41.000 euro
El Clarimo (Clarimo x Limbus) 70.500 euro
Valesca (v. Tangelo van de Zuuthoeve x Burggraaf) 76.500 euro
Melbourne (Verdi x Zeus) 76.500 euro
Cirikit (Berlin x Lux) 91.500 euro
New York (Verdi x Watzmann) 97.000 euro
Dakota (Cento Lano x Intermezzo) 99.000 euro
Berlin (Cassini I x Caretino) 122.000 euro
Tobalio (Numero Uno x Jacorde) 175.000 euro
Callahan (Contendro x For Pleasure) 180.000 euro
Capetown (Oklund x Carlino) 187.000 euro
New Orleans (Colbert x Carthago) 210.000 euro
Vingino (Voltaire x Cassini I) 305.000 euro
Seoul (Thunder van de Zuuthoeve x Lancer II) 307.500 euro
London (Nabab de Reve x Chin Chin) 8.600.000 euro