
Sport
samedi 16 mai 2015
Firth of Lorne & Peppi Dahlmann de retour en scène.
Cornado, Come Il Faut, Colorit, Firth of Lorne ont tous un point commun : Franz Josef Dahlmann, leur cavalier formateur. Parti ensuite vers de nouvelles aventures à Zangersheide puis en Chine, le cavalier avait dû faire le difficile choix de laisser partir tous ses cracks vers de nouveaux horizons. Revenu s'installer dans les écuries familiales depuis un peu plus d'un an où il travaille désormais avec sa sœur, Peppi Dahlmann a eu le bonheur de retrouver l'étalon Firth of Lorne (For Pleasure x Stakkato) sur sa route. L'an dernier Firth of Lorne avait connu deux terribles chutes sur la rivière d'Aix la Chapelle avec sa cavalière Katrin Eckermann avec qui il avait remporté le Grand Prix de Hambourg la même année.
"Le propriétaire de Firth est un très bon ami. Nous avons toujours été en contact même lorsque j'étais en Chine. Au mois de décembre l'an dernier, il m'a appelé pour savoir si j'aurais un boxe pour Firth, je lui ai répondu que j'avais toujours un boxe pour Firth et qu'il pouvait même choisir celui qu'il voulait ! Nous avons d'abord travailler sur le plat pendant un mois, en janvier, nous avons recommencé à sauter un peu avant d'avoir le feu vert pour recommencer à travailler plus intensément. Je l'ai emmené faire deux petits concours d'1m30 puis j'ai eu l'autorisation d'aller à Munich mais uniquement pour faire les épreuves intermédiaires. Ce n'était pas très haut mais le feeling était très bon. J'ai retrouvé le cheval que j'ai connu avant. Nous avons sauté l'eau à la maison et en concours et la grande rivière à la maison, nous n'avons pas eu de soucis et je n'ai aucune appréhension avec cela. Actuellement, nous avons 14 chevaux de propriétaires mais recevoir un cheval de Grand Prix comme Firth est quelque chose de très rare. Évidemment que l'on rêve de haut niveau et pourquoi pas de coupe des nations mais il faut être réaliste. Il faut prendre le temps et avancer étape par étape." réagira Franz Josef Dahlmann avec sa bonne humeur habituelle.
photo WOSJ
"Le propriétaire de Firth est un très bon ami. Nous avons toujours été en contact même lorsque j'étais en Chine. Au mois de décembre l'an dernier, il m'a appelé pour savoir si j'aurais un boxe pour Firth, je lui ai répondu que j'avais toujours un boxe pour Firth et qu'il pouvait même choisir celui qu'il voulait ! Nous avons d'abord travailler sur le plat pendant un mois, en janvier, nous avons recommencé à sauter un peu avant d'avoir le feu vert pour recommencer à travailler plus intensément. Je l'ai emmené faire deux petits concours d'1m30 puis j'ai eu l'autorisation d'aller à Munich mais uniquement pour faire les épreuves intermédiaires. Ce n'était pas très haut mais le feeling était très bon. J'ai retrouvé le cheval que j'ai connu avant. Nous avons sauté l'eau à la maison et en concours et la grande rivière à la maison, nous n'avons pas eu de soucis et je n'ai aucune appréhension avec cela. Actuellement, nous avons 14 chevaux de propriétaires mais recevoir un cheval de Grand Prix comme Firth est quelque chose de très rare. Évidemment que l'on rêve de haut niveau et pourquoi pas de coupe des nations mais il faut être réaliste. Il faut prendre le temps et avancer étape par étape." réagira Franz Josef Dahlmann avec sa bonne humeur habituelle.
photo WOSJ

Sport
samedi 16 mai 2015
Le coup parfait de Bertram Allen !
À Derby unique au monde, vainqueur exceptionnel. Cette simple phrase résume à elle seule, ce que le public du Stade François André à vécu ce samedi après-midi. Dans un chaudron archi-comble, le fougueux, mais génialissime, Bertram Allen s'est imposé au terme d'un derby qui a retrouvé toutes ses lettres de noblesse.
Le chef de piste, Frédéric Cottier, le dit : "La Baule ce n'est pas Hickstead ou Hambourg! La Baule c'est unique au monde! " et lorsque l'on regarde la liste de départ de la mythique épreuve de ce samedi, le public en venant tôt remplir les tribunes du stade équestre ne s'y sont pas trompé. Il y allait avoir du spectacle, et quel spectacle. Patrice Delaveau l'ouvreur.
Est-ce un manque de chance ou non, le tricolore Patrice Delaveau avait cependant la lourde tâche d'ouvrir sur Ornella Mail*HDC l'épreuve phare du jour. Une tâche que le tricolore va très bien accomplir puisque malgré 8 points de pénalité, il va donner un temps de référence très rapide qui va tenir durant toute la première partie d'épreuve.
Bertram Allen, le fougueux.
Delaveau toujours en tête, Bertram Allen entre en piste avec la ferme intention d'aller vite, très vite. Et l'Irlandais fort de deux victoires déjà ce week-end et d'un podium dans la coupe des nations, surfent sur la vague de la réussite. En selle sur Wild Thing L, le jeune cavalier va avaler les 25 difficultés et les 1200 m de la piste dans un temps canon. Moins rapide que le tricolore certes,, mais avec seulement 4 points de pénalités il prend logiquement la tête du classement provisoire. " C'était mon premier Derby officiel avec Wild Thing L, mais je m'entraîne tout de même avec quelques obstacles naturel à la maison. Aujourd'hui tout me sourit, et en allant vite, je savais que cela pouvait être gagnant".
Et derrière lui ?
Pris de vitesse par l'Irlandais, les couples suivant changèrent considérablement leur stratégie en entrant en piste : assurer le sans-faute semblait judicieux sauf que... sauf que cela consistait aussi à prendre un risque, voir le temps s'écouler et ne jamais rattraper Mister Allen. Et le premier à en faire les frais va être le champion olympique en titre, Steve Guerdat. " Nasa participait à son premier Derby et j'ai essayé d'assurer le sans-faute, car je savais que je ne pouvais pas aller chercher Bertram. Cette faute sur l'avant-dernier me prive de la victoire, mais vraiment, je suis content de cette troisième place pour une première".
Un autre cavalier va subir cette stratégie, l'anglais William Whitaker. " Il reste très peu de Derbys de ce niveau et c'est très intéressant. Glenavadra Brilliant, est véritablement un cheval fait pour ce type d'épreuves" En commettant une faute un peu plutôt que le cavalier Suisse, le Britannique va considérablement accélérer pour venir s'intercaler à la seconde place d'un podium qui n'évoluera plus.
Nouvelle victoire donc ce week-end pour l'Irlandais Bertram Allen, la troisième.
Dans l'ultime qualificatif pour le Grand Prix de ce dimanche, la Marseillaise a retentit pour sacrer Patrice Delaveau avec Carinjo HDC (Cascavelle).
Damien Kilani - photo www.psvphoto.com
Le chef de piste, Frédéric Cottier, le dit : "La Baule ce n'est pas Hickstead ou Hambourg! La Baule c'est unique au monde! " et lorsque l'on regarde la liste de départ de la mythique épreuve de ce samedi, le public en venant tôt remplir les tribunes du stade équestre ne s'y sont pas trompé. Il y allait avoir du spectacle, et quel spectacle. Patrice Delaveau l'ouvreur.
Est-ce un manque de chance ou non, le tricolore Patrice Delaveau avait cependant la lourde tâche d'ouvrir sur Ornella Mail*HDC l'épreuve phare du jour. Une tâche que le tricolore va très bien accomplir puisque malgré 8 points de pénalité, il va donner un temps de référence très rapide qui va tenir durant toute la première partie d'épreuve.
Bertram Allen, le fougueux.
Delaveau toujours en tête, Bertram Allen entre en piste avec la ferme intention d'aller vite, très vite. Et l'Irlandais fort de deux victoires déjà ce week-end et d'un podium dans la coupe des nations, surfent sur la vague de la réussite. En selle sur Wild Thing L, le jeune cavalier va avaler les 25 difficultés et les 1200 m de la piste dans un temps canon. Moins rapide que le tricolore certes,, mais avec seulement 4 points de pénalités il prend logiquement la tête du classement provisoire. " C'était mon premier Derby officiel avec Wild Thing L, mais je m'entraîne tout de même avec quelques obstacles naturel à la maison. Aujourd'hui tout me sourit, et en allant vite, je savais que cela pouvait être gagnant".
Et derrière lui ?
Pris de vitesse par l'Irlandais, les couples suivant changèrent considérablement leur stratégie en entrant en piste : assurer le sans-faute semblait judicieux sauf que... sauf que cela consistait aussi à prendre un risque, voir le temps s'écouler et ne jamais rattraper Mister Allen. Et le premier à en faire les frais va être le champion olympique en titre, Steve Guerdat. " Nasa participait à son premier Derby et j'ai essayé d'assurer le sans-faute, car je savais que je ne pouvais pas aller chercher Bertram. Cette faute sur l'avant-dernier me prive de la victoire, mais vraiment, je suis content de cette troisième place pour une première".
Un autre cavalier va subir cette stratégie, l'anglais William Whitaker. " Il reste très peu de Derbys de ce niveau et c'est très intéressant. Glenavadra Brilliant, est véritablement un cheval fait pour ce type d'épreuves" En commettant une faute un peu plutôt que le cavalier Suisse, le Britannique va considérablement accélérer pour venir s'intercaler à la seconde place d'un podium qui n'évoluera plus.
Nouvelle victoire donc ce week-end pour l'Irlandais Bertram Allen, la troisième.
Dans l'ultime qualificatif pour le Grand Prix de ce dimanche, la Marseillaise a retentit pour sacrer Patrice Delaveau avec Carinjo HDC (Cascavelle).
Damien Kilani - photo www.psvphoto.com

Sport
vendredi 8 mai 2015
La tchèquie s'impose à Linz.
Sur le terrain, c'est la Tchèquie qui a remporté une belle victoire en coupe des nations avec un double sans-faute d'Emma Augier de Moussac en réussissant maintenir son avance sur l'Ukraine qui aura réussi une seconde manche vierge de pénalité.
Une fête quelque peu gâchée par des raisons extra-sportives ! L'Allemagne aura été la seule équipe de division I à pouvoir prendre le départ alors que la Suisse et l'Italie ont dû s'installer en tribune malgré l'invitation qu'ils avaient reçue des organisateurs car un nombre d'équipe trop important souhaitaient prendre le départ. En effet, pas moins de treize équipes étaient au départ ... une situation fermement déplorée par le chef d'équipe suisse qui s'est confié sur le site du cavalier romand.
Une fête quelque peu gâchée par des raisons extra-sportives ! L'Allemagne aura été la seule équipe de division I à pouvoir prendre le départ alors que la Suisse et l'Italie ont dû s'installer en tribune malgré l'invitation qu'ils avaient reçue des organisateurs car un nombre d'équipe trop important souhaitaient prendre le départ. En effet, pas moins de treize équipes étaient au départ ... une situation fermement déplorée par le chef d'équipe suisse qui s'est confié sur le site du cavalier romand.