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Sport mardi 5 janvier 2016
Sandro Boy rejoindra Beligneux le Haras.
A 23 ans, Sandro Boy (Sandro x Grannus) rejoint la France et Beligneux le Haras pour y faire la monte en 2016. L'ancien crack de Marcus Ehning s'est retiré de la compétition en 2010 et a depuis fait la monte chez Paul Schockemoehle et au Holstein Verband. Il sera stationné cette année à à l’European Stallons Resort, le centre d’insémination de la famille NEYRAT, situé à Servas.
Faisant partie de ses premières génération, Sabrina a également performé au plus haut niveau avec plusieurs victoires en CSI***** dont le Grand Prix du Saut Hermes alors que Fantomas de Muze a remporté les Sires of the World 2014 et que Ramouncho de Grée évolue en Grand Prix sous la selle d'Alexis Gautier.

Frédéric Neyrat se réjouit d’accueillir Sandro Boy : « La jumenterie française est largement imprégnée par des étalons plein de force. Il faut maintenant des étalons qui allègent sensiblement le gabarit et qui permettent d’aller vite tout en restant dans le calme. Il faut aussi conforter la technique du passage de dos. Enfin, il faut faire des beaux chevaux, de ceux qui attirent le regard. Sandro Boy va puissamment nous aider à produire ce cheval moderne. SANDRO BOY sera disponible en semence fraîche au Haras de Châtenay dans l’Ain et en semence réfrigérée partout en France et en Europe au prix de 1500€ttc au poulain vivant. La fertilité de la semence de Sandro Boy est garantie par les excellents résultats obtenus dans le Holstein en 2015. »

Une seule année de monte est prévue en France actuellement. C'est la seconde recrue de la famille Neyrat qui avait déjà rentré l'étalon poney Rohirrim Palija (Cyrano Pondi) qui se consacrera pour une saison à la monte après avoir remporté le championnat de Suisse et terminé à la 8ème place des championnats d'Europe sous la selle de Victoria Rouvière. Le puissant gris s'accordant quelques mois de pause avant de reprendre sa carrière sportive en compagnie de la jeune soeur de sa précédente cavalière.

Sport vendredi 1 janvier 2016
Tornesch fait ses adieux au plus haut niveau.
L’étalon KWPN Tornesch (Lux Z x Libero H) a quitté les écuries de Malin Bayard pour rejoindre les écuries de sa propriétaire, Helena Hugoson Feldt, qui l’avait débuté et emmené jusqu’au niveau 140 avant de passer la main à celle qui aura été sa cavalière durant 8 ans l’emmenant sur les plus belles pistes internationales.
Avec sa propriétaire, Tornesch avait été finaliste du championnat du monde des 5 ans à Lanaken avant de remporter le championnat des 6 ans à Falsterbo et de poursuivre sa moisson de succès avec Malin Bayard avec une victoire dans la coupe des nations et une seconde place dans le Grand Prix devant son public à Falsterbo en 2010, il a participé en 3 finales de coupe du monde et deux championnats d’Europe. A 16 ans, Tornesch va désormais se consacrer principalement à l’élevage mais ne tourne pas la page complètement puisqu’il va continuer d’évoluer en concours avec la fille de sa propriétaire âgée de 18 ans qui évolue en Young Rider au niveau 140.

« Nous avons acquis Tornesch lorsqu’il avait trois ans à ‘s Hertogenbosh lors de l’admission du KWPN où il a été admis et nous l’avons fait admettre dans la foulée en Suède. Nous avions tout de suite aimé le cheval pour son modèle et ses qualités, nous pensions que ce serait un reproducteur très intéressant … mais en plus, il a toujours répondu présent sportivement à 3,4,5 et 6 ans. Il est toujours difficile d’imaginer une carrière comme celle qu’il a faite mais ce n’est que du plaisir. Nous avons remporté ensemble les 6 ans à Falsterbo. Personnellement, cela restera mes plus beaux moments et je l’ai ensuite fait évoluer jusqu’à des épreuves à 1m40 mais ensuite, j’étais convaincue qu’il fallait que je trouve un cavalier plus expérimenté. J’étais cavalière depuis de nombreuses années mais je n’ai aucun problème à passer le main à un autre cavalier quand je le juge nécessaire. J’ai alors pensé à Malin Bayard car Tornesch est un cheval très sensible et je voulais quelqu’un de doux avec les chevaux. Au départ, elle était un peu angoissée car elle n’avait jamais eu d’étalons, ses meilleures performances avaient jusqu’à présent toujours été avec des juments mais dès qu’elle l’a essayé, elle a apprécié le cheval d’autant qu’il ne se comportait pas du tout en étalon mais possède un fantastique caractère. Il est temps pour lui de quitter le haut niveau même s’il évoluera encore avec ma fille. C’est certain qu’il y a une pression de monter un tel cheval mais nous voulons tout faire pour éviter cette pression. Le but, c’est de se faire plaisir. Ils se connaissent déjà avec ma fille puisqu’elle l’a déjà monté lorsqu’il revenait pour la saille. Ma fille évolue dans des épreuves 140 et possède d’autres chevaux qui pourraient lui permettre de participer aux championnats d’Europe Young Riders l’an prochain … après, ce sera à Tornesch lui-même de décider ce qu’il aura envie de faire. La décision lui appartient ! Au printemps, il retournera également deux mois au haras des Couvains où il a beaucoup sailli l’an dernier car je pense que c’est important pour sa carrière d’étalon. Nous sommes heureux d’avoir pu suivre sa carrière à ses côtés en paratgeant aussi bien des moments merveilleux que des moments tristes, cela aura été une magnifique aventure qui n’est pas finie d’autant que nous possédons également son fils lui aussi étalon, Turmalin, dans lequel nous croyions beaucoup. » nous expliquera Helena Hugoson Feldt.

© studforlife.com
Sport dimanche 27 décembre 2015
Journée élevage à Malines
La journée élevage du jumping de Malines débutait avec le saut en liberté qui a offert une nouvelle victoire au sBs grâce à Howard du Seigneur (Curby du Seigneur x Ogano Sitte), un pur produit de l’élevage de la famille Van Langendonck. Il s’agit de la souche de Carembar de Muze, mieux connu sous le nom de London. La mère de Howard, Cibelle du Seigneur évolue sous la selle de Jérôme Guery alors que sa grand-mère, Verybelle du Seigneur évolue sous le nom de Oak Grove Heartfelt avec Rolf-Goran Bengtsson. Sous le regard d'un jury composé de Ludo Philippaerts et Jan Greve, il devance Nikita vd Vlasbloemhoeve (Hasall vd Mispelaere) et No Limit vh Kieveld (I'm Special de Muze).

Cette année, les étalons de 4 et 5 ans auront été supprimés du programme et c’est tout simplement le champion de Belgique des 6 ans Jonsaunier Dwerse Hagen (Vertigo Saint Benoit), fils de l’ancienne jument de Grand Prix de Patrick Spits Withney vd Dwerse Hagen, qui remporte l’épreuve des étalons de 6 ans avec Thierry Goffinet. Ils devancent Olivier Philippaerts sur Extra et Joe Clee sur le très chic Justin Van De Zandhoeve (Emerald vh Ruytershof) alors que Gudrun Patteet prend la 4ème place avec Sea Coast Don’t Touch Tiji Hero (Diamant de Sémilly).

Dans les 7 ans, Gregory Wathelet s’est imposé avec sa recrue Iron Man Van De Padenborre (Darco), médaillé de bronze du championnat de Belgique des 7 ans sous la selle de Stefan Corten. Le nouveau couple devance Nicola Philippaerts avec Chili Willi (Casall) et Niels Bruynseels sur Urlando Des Forets(Diamant de Sémilly), qui n’est autre qu’un petit fils de Narcotique II de Muze. Les Sires of the World ont connu une soirée agitée avec pas moins de 18 barragistes alors qu’il n’y avait que trente partants dans cette épreuve réservée aux étalons, et organisée en hommage à Léon Melchior. Qui pouvait mieux lui rendre cet hommage que son beau-fils, Christian Ahlmann avec l’étalon né à Zangersheide Caribis Z (Caritano Z), fils de l’internationale Canasta Z et petit-fils de l’ancienne jument de Grand Prix de Judy Ann Melchior Carlaya Z. Ils devancent ni plus ni moins qu’Harrie Smolders avec Emerald vh Ruytershof (Diamant de Sémilly) et Lorenzo de Luca sur Balou de Cœur Joye (Balou du Rouet) alors que le cheval de l’année Utamaro d’Ecaussine (Diamant de Sémilly) prend la 4ème place avec Joe Clee.

Dans la dernière épreuve du jour, Denis Lynch s’impose avec l’étalon Songe de Toscane (Indoctro) dans le Masters juste devant Christian Ahlmann sur Cornado II (Cornet Obolensky), propre frère de Cornado Nrw, alors que Jérôme Guery prend la troisième position avec Grand cru van de rozenberg (Malito de Rêve).

Sport mercredi 23 décembre 2015
Gregory Wathelet et Philippe Le Jeune réagissent.
La disqualification pure et simple de Bertram Allen vainqueur dans la piste du Grand Prix de Londres n’a pas fini de faire couler beaucoup d’encre.
Le jeune Irlandais a accordé une longue interview à Worldofshowjumping dans laquelle il explique que lors du contrôle en fin de tour, le steward a remarqué une marque sur le flanc droit de Quiet Easy. Elle a passé sa main avec son gant et une petite marque de sang est apparue sur le gant. La steward l’a photographiée mais ensuite, il n’y a pas eu de saignements supplémentaires. Bertram Allen est ensuite rentré à l’écurie où Quiet Easy était en pleine forme. Une personne du jury, appelée par le steward est venue voir et lui a indiqué qu'il ne devrait pas recevoir de carton jaune pour cela mais que la suite était indécise. Le cavalier irlandais s’est ensuite préparé pour la remise des prix et a regardé Michael Whitaker sur l’écran et lorsque ce dernier est venu le féliciter pour sa victoire, le speaker a annoncé que la victoire revenait finalement au Britannique. Le jeune homme a ensuite voulu se renseigner sur les raisons de sa disqualification mais la steward en question lui a alors répondu qu’elle n’avait rien avoir avec cela et personne d’autre ne voulait lui répondre … Le cavalier dit également avoir senti que le jury s’était rendu compte d’avoir pris une sanction trop sévère d’autant que les réactions des autres cavaliers ne se sont pas fait attendre mais c’était trop tard !
Le cavalier se donne encore le temps de la réflexion au sujet d’un éventuel appel de cette décision mais pense plutôt qu’il en restera là. « Lorsque je me suis réveillé mardi matin, je me suis dit que cette journée allait être la pire de ma vie, mais elle s'est révélée plutôt bonne! » réagira le jeune homme, faisant référence aux nombreux soutiens reçus depuis lundi avant d’ajouter « Mes chevaux et leur bien-être sont les choses les plus importantes de ma vie. Au regard du soutien que j’ai reçu aujourd’hui, je pense que les gens ont conscience de cela et c’est ce qui compte pour moi. »

De nombreux cavaliers sont en effet montés au front depuis lundi pour dénoncer ce règlement où la limite semble bien difficile à fixer pour les stewards car si le cas de Bertram Allen fait grand bruit à cause de cette victoire annulée, il n’est pas pour autant un cas isolé. D’autres très grands cavaliers ont été confrontés au même cas à l’image de Marcus Ehning à qui il a été vivement conseillé de ne pas repartir dans la seconde manche du Global Tour de Valkenswaard ou encore Grégory Wathelet il y a quelques temps dans le Grand Prix d’Helsinki.

Le vice-champion d’Europe réagit également à propos de ce règlement : « C’est toujours délicat de parler d’un cas lorsqu’on n’est pas là mais il est clair qu’il faut que quelque chose change dans ce règlement : on ne peut pas continuer à disqualifier des cavaliers comme cela ! Si on prend le cas de Marcus Ehning à qui on a fortement déconseillé de repartir en seconde manche à Valkenswaard, d’autres cavaliers seraient repartis car il n’y avait strictement rien mais pas un homme aussi respectueux de ses chevaux que Marcus. Je pense qu’il y a des choses bien pires qu’une petite coupure d’éperon, ce n’est pas comme s'ils étaient en sang. Par contre, il faut bannir de notre sport des gens qui s’écrasent dans des obstacles au paddock, qui tirent dans la bouche, utilisent des mors très durs et torturent leurs chevaux. C’est certain qu’il faut toujours une limite car ce sont des animaux et ils ne peuvent pas parler. C’est donc à nous, humains, de mettre des limites mais là, c’est exagéré. Avec des chevaux un peu sensibles, cela peut arriver à tout le monde et d’ailleurs, de plus en plus de cavaliers laissent des petits carrés non tondus pour tenter d’éviter cela. Qu’arrivera-t-il le jour où la même situation se produit lors d’une finale d’un championnat du monde ou d’Europe ? Où va-t-on ? Est-ce qu’un footballeur qui se prend un coup doit arrêter de jouer pour autant ? Certains juges sont des gens de chevaux et sont compréhensifs. Cela m’est arrivé cette année à La Baule avec un cheval gris où il y avait une petite marque de coupure. Le juge m’a fait une remarque en me disant de faire attention pour demain en lui mettant une protection. Finalement, le lendemain, il n’y avait plus rien et tout s’est très bien passé. Sur un cheval gris, il suffit qu’il y ait deux gouttes de sang qui sortent pour qu’avec l’action de la jambe, cela face une petite tache de la taille d’une pièce d’un euro. C’est ce qui m’est arrivé à Helsinki. A la suite de cela, j’avais utilisé avec le cheval que je montais à l’époque une sangle de protection mais je ne trouve pas que ce soit une solution car le cheval réagit moins bien à la jambe et l’on est obligé de mettre des éperons plus durs. C’est vraiment délicat et compliqué, je n’ai malheureusement pas la solution idéale mais il est certain que cela va trop loin. Il faut toujours qu’il y ait un cas plus médiatique pour que cela fasse bouger les choses mais il y a déjà eu de nombreux cas comme également celui d’Hans Dieter Dreher double sans-faute dans le Grand Prix du Global de Londres qui n’avait pas pu repartir et qui aurait pu gagner. Je pense que la FEI a pris ces dernières années de très bonnes décisions comme ces contrôles de thermographie qui sont difficiles car il y a différentes situations, c’est délicat, il faut encore prouver certaines choses car il peut parfois apparaître certaines températures alors qu’aucun produit n’a été appliqué mais je suis à 100% pour ces contrôles même si c’est chiant pour nous. Il y a des gens qui trichent, qui ont triché et comme dans tout à cause de ces gens-là, on paie les pots cassés aujourd’hui. C’est contraignant car il faut aller se montrer avant, après mais je trouve que c’est bien ! On a vu à un moment des guêtres tellement serrées que les chevaux ne savaient même plus comment marcher derrière. Ce n’est pas acceptable et à un moment donné, il faut mettre des limites. On voit aujourd’hui une véritable amélioration à ce niveau. Il reste des tricheurs qui essaient encore de passer entre les mailles du filet mais ce sont des gens qui ont la triche dans le sang… La situation s’est améliorée et finalement, ce n’est pas vraiment les cavaliers du top niveau qui sont visés car à ce niveau-là, on ne peut plus vraiment tricher. Il faut de vraiment bons chevaux. Je pense qu'il y a plus de soucis au niveau inférieur. De nombreux cavaliers de régionaux pensent qu’au plus haut niveau, les chevaux sont tous préparés, les cavaliers trichent tous mais ce n’est pas le cas et il faut se battre contre cette idée ! Je ne sais pas comment on doit mettre la limite mais il faut faire quelque chose car comme cela, ce n’est pas possible. Il y a déjà eu des discussions entre les cavaliers à ce sujet. Je pense qu’il faut aussi pouvoir permettre aux juges de juger une situation et pas juste appliquer un règlement à la lettre. Lorsqu’on regarde la vidéo du parcours de Marcus Ehning à Valkenswaard, c’est beau, sa jambe ne bouge pas alors oui, il a peut-être mis la jambe à un endroit mais il ne l’a pas éperonné, ni mit des coups durant le parcours puis il se retrouve disqualifié alors qu’on voit des cavaliers avec leurs jambes qui bougent dans tous les sens ? C’est une situation qui rejoint un peu celle vécue par Steve Guerdat car elle peut arriver à chacun d’entre nous. »

Le champion du monde 2010 Philippe Le Jeune s’est également montré scandalisé par cette situation : « C’est une situation aberrante. Il est grand tant que la FEI et les fédérations nationales prennent des mesures à ce niveau. Il y a des cavaliers bien plus durs qui ne sont pas sanctionnés et la FEI laisse s’élancer des cavaliers non préparés et qui n’ont pas le niveau sur des Grand Prix***** d’1m60 qui écrasent leurs chevaux dans des obstacles. Sur de telles hauteurs même de cracks chevaux ne peuvent pas sauver leur peau lorsque les cavaliers commettent des approximations. La FEI laisse véritablement ces chevaux aller au casse-pipe et ça, à mon sens, c’est de la maltraitance aux animaux. Je ne comprends pas très bien où est le problème ici. Il faut fixer des limites, cela ne fait aucun doute mais cela va trop loin.
Je dois bien admettre que ces coupures d’éperon représentent un problème assez nouveau que l’on peut aussi expliquer par une nouvelle mode apparue il y a trois, quatre ans de tondre les chevaux toutes les trois, quatre semaines durant toute l’année. Certains laissent d’ailleurs depuis des marques non tondues au niveau des éperons mais esthétiquement, je ne trouve pas cela très beau. A force de tondre, on irrite la peau d’autant que désormais, on douche les chevaux toute l’année au lieu de leur faire un véritable pansage. Cela va plus vite mais je ne pense pas que cela soit une évolution positive. Personnellement, je refuse de tondre mes chevaux l’été car c’est leur protection contre le soleil, les insectes et bien d’autres choses. J’entends parfois des grooms se plaindre qu’un cheval a mal au dos et qu’ils ne peuvent plus poser la main dessus mais ce n’est pas au dos que le cheval a mal, c’est juste qu’avec la transpiration, l’irritation de la peau et le soleil en plus en été : la peau est brûlée tout simplement. Je ne sais pas si les gens pensent qu’en les tondant toutes les trois semaines, cela va les faire devenir des stars, ou des êtres humains. Je trouve qu’un cheval doit rester un cheval. Pour en revenir au problème des éperons proprement dit, je pense que si dans le cas de Bertram Allen cela est arrivé à la fin du barrage, on pourrait éventuellement dans le cas de Marcus Ehning à Valkenswaard lui proposer de repartir sans éperon lors du second tour. C’est peut-être une solution envisageable car des sanctions aussi radicales que celles qui sont mises en place actuellement ne tiennent vraiment pas compte des réalités de notre discipline, ni des coûts et du manque à gagner avec de telles sanctions. Pour ma part, je préférerais être un cheval chez Bertram Allen ou Marcus Ehning qu’un cheval chez un amateur qui me pousse dans les obstacles.»