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Sport mardi 22 novembre 2016
Giovanni van het Scheefkasteel débarque chez Jérôme Guery.
Après avoir fait sensation l’an dernier chez Pius Schwizer en prenant notamment la deuxième place de la coupe des nations d’Hickstead et la quatrième de celle de Falsterbo en se classant notamment sixième du Grand Prix du CHIO****** de Rotterdam, Giovanni van het Scheefkasteel (Darco x Perhaps van Berkenbroeck) rejoint le piquet de chevaux de Jérôme Guery qui fera ses débuts avec sa nouvelle monture à Madrid où il fera partie des têtes de liste du Jumping Clash Challenge qui y fera ses débuts également.

« Lieven Devos m’a contacté et m’a proposé de monter Giovanni. Je connaissais le cheval et son histoire. C’est un cheval un peu différent dans le gabarit des chevaux que j’ai l’habitude de monter mais c’est clair qu’il s’agit d’un cheval avec du potentiel. Il est arrivé à la maison il y a deux semaines et demi, il a bien sauté à l’entrainement … mais il ne faut pas crier victoire pour la cause d’autant que passer après des cavaliers du top mondial comme Pius Schwizer, c’est toujours délicat. Maintenant, je pense que le cheval conviendra mieux aux pistes extérieures et nous allons juste nous servir de l’hiver pour nous mettre ensemble. Il y a tellement de concours durant la saison extérieur que j’aurai bien besoin de lui-même si j’ai la chance d’avoir une très bonne écurie actuellement. De plus, depuis deux ans, j’ai pu grimper dans la hiérarchie mondiale, ce qui est agréable … mais cela change complètement mon système de fonctionnement. Jusqu’à présent, j’ai toujours formé mes chevaux moi-même mais cela devient plus compliqué car nous sommes appelés à évoluer sur des concours cinq étoiles chaque semaine et même si je saute mes jeunes chevaux à la maison chaque semaine, j’ai hâte de partir au Sunshine Tour en début d’année pour pouvoir leur donner de l’expérience car préparer l’avenir, c’est vraiment essentiel à mes yeux. » assènera le nouveau numéro un belge qui pointe désormais 23ème au ranking mondial.

Sport mardi 22 novembre 2016
Nouvelles ventes aux enchères pour Zangersheide.
Zangersheide organise une nouvelle vente aux enchères sur internet avec au menu pas moins de 18 embryons et 8 juments pleines avec à chaque fois des origines ronflantes qui en feraient rêver plus d’un.
Parmi les embryons mis en vente, on retrouve un de la propre sœur de Big Star (Aganix du Seigneur Z x Quick Star) et un de sa fille (Diamant de Sémilly x Vigo d’Arsouilles) , un issu de la sœur de Casallo Z (Kannan x Guidam), un issu de la sœur de London (Baloubet du Rouet x Rubens du Ry d’Asse), un issu de la sœur de Corrado I & II (Diamant de Sémilly x Lavaletto), un de la sœur de Hello Forever (Cicero Z x Ustinov), un de la propre sœur de Hello M’Lady, un de la sœur de Ryan des Hayettes, un d’une fille de Fananka A, un dont la grand-mère est Ligie (souche « Of Colors »), un d’une sœur de Papillon Z (Aganix du Seigneur x Diamant de Sémilly) , un de la mère de l’étalon performer Perigieux (Diamant de Sémilly x Stakkato), un d’une sœur de Sapphire (Cicero Z x Rex Z), un dont la grand-mère est la très célèbre Usha van’t Roosakker (Take a Chance Z x Emerald van’t Ruytershof), un issu de la mère de Vagabond de la Pomme (Cicero Z x For Pleasure), un issu de la mère de Cas de Liberté Z par Cicero Z ou encore un issu de la propre sœur de Valentina van’t Heike (For Pleasure x Nabab de Rêve) soit le même croisement que Epleasure van’t Heike. Bref, du rêve à la pelle et une collection impressionnante annoncée à peine 15 jours avant la vente.

Du côté des juments, on retrouve une petite fille d’Electra van’t Roosakker pleine de Vigo d’Arsouilles, une fille de l’internationale Audi’s Katha pleine d’Aganix du Seigneur, une demi-sœur de Priobert et Quilano de Kalvarie pleine de Dominator Z, une demi-sœur de Tic-Tac & Boyfriend du Seigneur pleine d’ Exxon Hedonis, une souche également représentée avec une autre petite fille de Mic Mac du Dieu Démon pleine de Eternity du Seigneur sans oublier pour terminer ni plus, ni moins qu'une fille de la crack de Kevin Staut, Ayade de Septon pleine de Vagabond de la Pomme.

La vente débutera le 9 décembre pour se terminer le 12 décembre à 19h !

La Collection

Sport lundi 21 novembre 2016
Petite annonce pour un entraineur fédéral !
Cela pourrait faire sourire ... mais la fédération belge a débuté sa recherche du successeur de Dirk Demeersman ... en préparant une petite annonce sous forme de cahier des charges. Espérons que la fédération ne recevra pas trop de candidatures farfelues ...

La Fédération Royale Belge des Sports Equestres engage pour entrée au service le 1/01/2017 : Un entraîneur fédéral de saut d’obstacles

La mission de base de l’entraîneur fédéral La gestion de la politique sportive des Seniors Saut d’obstacle au sein de la FRBSE, ayant comme objectif de faire des toprésultats en équipe à des championnats internationaux.

Responsabilités professionnelles Dans l’exécution de sa mission, l’entraîneur fédéral consacrera le temps nécessaire pour atteindre les objectifs recherchés.

Dans ce temps, il exécutera au moins les sous-tâches suivantes :

a) L’élaboration continue des cadres A et B composés des combinaisons cavalier/cheval pour lesquels la cellule de sport de haut niveau recevra de façon régulière une analyse SWOT pour chaque combinaison et pour lesquels l’entraîneur fédéral fera des suggestions pour les besoins de chaque combinaison, dont le contenu peut contribuer à la réalisation des objectifs.

b) Les conseils spécifiques, l’encadrement et le suivi des combinaisons cavalier/cheval qui font partie du cadre A et ceci, pas uniquement lors des compétitions mais également en dehors.

c) La conception d’un planning à long terme en fonction de la réalisation des objectifs (Championnats du Monde, Championnats d’Europe et Jeux Olympiques) pour lesquels une attention particulière sera consacrée à l’évolution du niveau de forme des combinaisons, l’état de santé des chevaux, les conseils aux combinaisons lors du planning de leur programme de concours et la participation à des concours spécifiques qui peuvent contribuer au résultat souhaité ainsi que le suivi et l’évaluation des conseils donnés au cavalier.

d) Le suivi et l’évaluation intensifs, que ce soit personnel ou en collaboration avec un ou plusieurs assistants-entraîneurs, des combinaisons du cadre B, en fonction d’un éventuel passage dans le cadre A. Dans le but de soutenir l’engagement et la motivation de ces combinaisons du cadre B, l’entraîneur fédéral consultera et conseillera les cavaliers de manière régulière.

e) L’entraîneur appliquera son expérience, le suivi mentionné ci-dessus et l’évaluation pour être une valeur ajouté technique pour l’équipe nationale en vue des championnats et durant la participation aux championnats.

f) Le coaching attendu est orienté sur les résultats, et la gestion de l’équipe et la formation et la maintenance d’un bon esprit d’équipe, aussi qu’entre les cavaliers comme entre les cavaliers et l’encadrement, est d’une importance primordiale. L’entraîneur tiendra compte des qualités spécifiques et des imperfections des cavaliers requises (people coaching). Une autre partie de sa mission est la prévention, dans la mesure du possible, de conflits, et la participation active à la solution des conflits, avec une sérénité digne de son poste dirigeant.

g) En fonction de l’obtention du meilleur résultat, l’entraîneur doit consacrer une attention particulière à la communication avec les cavaliers, les membres des cadres et la cellule de sport de haut niveau, et ces parties entre eux. Dans cette communication, la presse et les propriétaires des chevaux et les sponsors des combinaisons doivent aussi être impliqués. Les décisions finales reviennent à l’entraîneur, mais une communication étendue avec tous les acteurs est nécessaire pour donner une meilleure chance de réussite aux objectifs recherchés.

h) L’entraîneur aura la responsabilité finale pour sa sélection, en ne pas oubliant l’attention pour les cavaliers non-sélectionnés, en fonction de leur motivation pour l’avenir et la compréhension pour sa décision.

i) L’entraîneur s‘ engage à garder la discrétion totale des informations qui lui sont communiquées confidentiellement lors de l’exécution de sa mission. Ceci vaut aussi pour les entretiens entre lui-même et les organismes de la FRBSE. La considération des informations confidentielles ne peut être qu’en fonction de la réalisation des objectifs. L’entraîneur continuera à respecter la discrétion imposée après la fin de la collaboration entre les parties.

Profil

Avoir de l’expérience dans le coaching d’équipes de haut niveau
Etre connaisseur du saut d’obstacles actuel en Belgique
Pouvoir communiquer ouvertement
Pouvoir installer une culture de « high performance »

Vous êtes intéressé?
Envoyer votre C.V. avec motivation avant le 12 décembre à [email protected]

Sport jeudi 17 novembre 2016
Verbois des Monceaux rejoint Grégory Rulquin
L’étalon Selle Français de 7 ans Verbois des Monceaux (Lando x Cabaret x Socrate de Chivre), champion de France des 5 ans sous la selle de David Astorg Ely qui l’a formé jusqu’à aujourd’hui rejoint la lorraine et les écuries de Grégory Rulquin qui a la double casquette de cavalier et directeur de Cheval Liberté.

« Le cheval m’avait été indiqué et lorsque j’ai été l’essayé, il m’a rapidement convaincu. J’ai tout de suite eu de très bonnes sensations. C’est un cheval qui n’est pas sans rappeler son père Lando lorsque je compare avec les vidéos que j’ai pu regarder de lui avec ses différents cavaliers. C’est un cheval avec beaucoup de sang qui est très concerné par ce qu’il fait. Il est très volontaire et très respectueux en ayant en plus un côté très pratique. Il m’a laissé une très bonne impression quant aux moyens qu’il peut avoir qui je pense devrait faire de lui un cheval de Grand Prix. J’ai décidé d’en acquérir la moitié auprès de son propriétaire Christian Chabuel qui s’occupera de gérer sa carrière d’étalon alors que je m’occuperai de la gestion sportive. Verbois se consacre d’ailleurs actuellement à sa carrière d’étalon puisque nous nous occupons de faire de la semence congelée. Nous débuterons donc ensemble en début d’année avec probablement quelques épreuves indoors. Il viendra compléter mon piquet qui sera composé de deux chevaux de 12 ans avec Rock d’Enfer et Rikitcha ainsi que de Verdi des Forêts qui aura également 8 ans comme Verbois l’an prochain. Nous nous tournerons principalement sur le circuit du Grand National que l’on complètera avec quelques internationaux en fonction de la forme de mes chevaux. » expliquera Grégory Rulquin.

Sport mercredi 16 novembre 2016
IJRC s'exprime sur le format olympique.
L'association internationale des cavaliers s'exprime sur le nouveau format olympique proposé par la FEI dans un communiqué de presse.

Nous voulons saisir l’opportunité d’exprimer la position de l’Association internationale des cavaliers de saut d’obstacles (IJRC) et du Groupement des cavaliers de saut nord-américains (NARG), qui sont majoritaires dans le monde des cavaliers de saut d’obstacles capables de concourir à un niveau mondial et/ou olympique, à propos des changements du format des équipes en saut d’obstacles débattus lors du dernier Forum sportif, à Lausanne, au vu du Memorandum of Understanding (MOU) signé entre l’IJRC et la Fédération équestre internationale (FEI).
En principe, nous soutenons l’objectif de la FEI d’accroître le nombre de nations aux Jeux olympiques (JO), mais croyons qu’il existe de meilleurs moyens d’y parvenir. Il est à noter que sur les 134 fédérations, 60 n’organisent aucun évènement équestre, 17 n’ont pas de cavalier et 26 n’ont pas de cheval.

Moins de 44 nations ont des cavaliers qui disputent des compétitions internationales de saut d’obstacles. Mathématiquement, on peut dès lors affirmer que seules environ 40 nations ont des cavaliers disputant des compétitions internationales de saut d’obstacles avec des chances réalistes d’être représentés aux JO. Les athlètes recommandent avec force que 12 (ou 13 ou 14) équipes de 4 cavaliers soient autorisées à participer aux JO. Une plus grande place pourrait ainsi être attribuée aux cavaliers du concours individuel, soit un total de 27 (ou 23 ou 19) cavaliers, ce qui permettrait à un plus grand nombre de nations de concourir. Les athlètes méritants pourraient alors être récompensés, même lorsqu’ils n’ont pas derrière eux le soutien d’une puissante fédération ou ne sont pas issus d’une nation connaissant une forte tradition dans le saut d’obstacles.

1°) Le bien-être du cheval

Avec des équipes de trois cavaliers seulement et aucun score à effacer, si, dans une équipe, un cheval est jugé inapte à concourir à 100% de ses capacités, il sera malgré tout fait fortement pression sur le cavalier pour qu’il concoure, afin d’éviter l’élimination de l’équipe, ce qui va à l’encontre de notre principe fondamental, qui place le bien-être du cheval avant tout. De surcroit, si un cavalier doit se retirer au nom du bien-être de son cheval, les cavaliers restants n’auront que le choix de se retirer, affectant ainsi sérieusement à la fois les valeurs de la compétition et l’attrait de l’évènement.

Le remplacement, ou repêchage, d’un cheval et de son cavalier à la deuxième manche placerait le cavalier, mais aussi et par-dessus tout les chevaux, sous haute tension. Le cheval ne ferait pas son entrée dans la compétition avec une progression, une croissance graduelle des difficultés. Il devrait affronter immédiatement un parcours sensiblement plus difficile, qui pourrait s’avérer dangereux (des chefs de piste expérimentés en conviennent et peuvent le confirmer). Ceci constitue un grand désavantage pour le cheval qui doit entrer dans l’arène alors qu’il n’a pas pu tester le sol, ne connaît pas le matériel des obstacles, la rivière, ni les lignes.

De fait, il est bien connu que le premier jour et le premier tour des JO et des championnats ne reflètent pas le niveau de difficulté des jours suivants. Cette graduation dans la difficulté vise à éviter des accidents chez les cavaliers moins expérimentés et à permettre aux chevaux de progresser graduellement vers un accroissement de la difficulté.

Aux JO de Rio, avec une réduction du nombre de cavaliers de 4 à 3, les Etats-Unis et les Pays-Bas auraient dû faire appel au cheval de réserve. Ce couple cavalier-cheval aurait dû participer au troisième tour, le second jour, sans expérience de l’arène de compétition, ce qui aurait pénalisé les performances de leur équipe et constitué un risque.

2) L’importance de conserver un score à effacer

Sans score à effacer, la compétition serait moins passionnante à suivre et nous ne voulons pas que les dés puissent être jetés après la première manche déjà. Ce système n’est pas difficile à comprendre par le public et rend la compétition plus passionnante jusqu’au bout, sinon tout peut être décidé trop vite. Rio a démontré que le format avec 4 cavaliers et un résultat biffé fonctionne bien. Ce fut dramatique et plein de suspens jusqu’aux ultimes parcours. Dans le sport équestre, on a deux êtres vivants, dont un animal, les chances d’élimination par accident ou malchance sont dès lors plus que doublées. C’est la raison pour laquelle le score effacé est primordial. Les Jeux de Rio en ont donné une preuve évidente: l’équipe hôte du Brésil aurait été éliminée irrémédiablement, un de ses cavaliers ayant été disqualifié après son parcours. Cela aurait provoqué l’élimination de l’équipe toute entière, ce qui aurait été vécu comme terrible par les spectateurs. 3) Le risque de retrait ou d’élimination de l’équipe Avec une équipe de trois cavaliers, le scénario suivant pourrait avoir lieu : - Si le premier cavalier obtient un mauvais résultat (élimination, 12 ou 16 points de pénalités), il ne reste plus qu’une lueur d’espoir pour les deux autres coéquipiers toujours en lice, à quoi bon continuer, tout particulièrement si l’épreuve a lieu après l’attribution des médailles individuelles. Voulons-nous que notre sport fasse un pas en-arrière, répéter l’expérience des JO de 1968 à Mexico, où le format du saut d’obstacles avait été changé (réduction des équipes de 4 à 3) et où les Canadiens avaient gagné à 3 avec plus de 100 points de pénalité ? Ou voulons-nous éliminer des équipes avec 16 points de pénalité ? 4°) Participation des petites nations aux épreuves olympiques Il est illusoire de présumer qu’en réduisant le nombre de compétiteurs par équipe, davantage de petites nations pourraient concourir et glaner des médailles. Nous vous demandons de bien vouloir analyser ce qui suit : 1°) Rio 2016 : Avec un score effacé 15 équipes de 4 cavaliers = 60 cavaliers Individuels : 15 cavaliers Total : 75 cavaliers et 28 nations (ou drapeaux) 4 (16 nations exclus parmi les 44 potentielles) 2°) Proposition de la FEI : Sans score effacé 20 équipes x 3 cavaliers = 60 cavaliers (20 réservistes actifs) Individuels : 15 cavaliers Total : 75 cavaliers et 33 nations (11 nations exclues sur les 44 potentielles) Cette proposition placerait les petites nations qui n’ont pas de quatrième cavalier en difficulté, dans le cas d’une substitution nécessaire avant ou pendant la compétition. Il y n’ya dès lors qu’un petit espoir d’augmenter le nombre d’équipes olympiques ne serait-ce que de cinq nations supplémentaires.

3°) Proposition des athlètes :

Avec un score effacé (important de le conserver) 14 équipes de 4 cavaliers = 56 cavaliers Individuel : 19 cavaliers Total : 75 cavaliers et 33 nations (ou drapeaux), proposition à l’identique de celle de la FEI (11 nations exclues sur 44 potentielles)
OU
Avec un score effacé (important de le conserver) 13 équipes de 4 cavaliers = 52 cavaliers Individuel : 23 cavaliers Total : 75 cavaliers et plus de 33 nations (ou drapeaux)

Dans la proposition des athlètes, il y aurait un plus grand nombre de drapeaux (33 ou même davantage), et avec 19 ou même 27 cavaliers au concours individuel (au minimum 4 de plus qu’actuellement), davantage de petites nations auraient leur chance d’envoyer (au moins) un cavalier aux JO.

On peut raisonnablement penser que toutes les nations qui pratiquent l’équitation à ce niveau auraient l’occasion d’envoyer un représentant.

Cette solution signifie que le sacrifice d’une à trois équipes en-dehors des petites nations créerait une politique d’ouverture. A ce stade de l’élargissement international de la compétition, il est beaucoup plus probable d’avoir des cavaliers du concours individuel compétitifs issus de nations du niveau suivant, plutôt que des équipes compétitives.

Il est important de souligner que lors des Jeux olympiques, les équipes doivent pouvoir garantir la qualité du sport, sans abaisser le niveau, pouvoir attirer plus de médias, une plus large audience et plus de représentants de la jeune génération, qui sont toujours plus intéressés par une compétition à son plus haut niveau possible. Au cours d’une rencontre récente organisée par la Fédération équestre européenne (FEE), le président de la FEI soulignait qu’un maximum de 12 équipes composent actuellement la première division.

Comme on le sait, les JO sont nettement plus exigeants que la Première division des Nations, non seulement à cause du niveau exigé lors des JO, mais aussi pour la durée de la préparation et de la participation à des concours de haut niveau nécessaires pour arriver « fin prêt » aux JO.

En regardant le panorama international, il s’avère difficile de trouver 20 équipes capables de concourir à un niveau suffisamment élevé pour participer aux JO sans risque de blessure pour le cheval ou le cavalier. Tel est notre espoir : qu’une solution positive résidant en un accord sur les bienfaits à la fois à court terme et à long terme du sport puisse être trouvée. L’esprit de l’IJRC n’a jamais été de conquérir le pouvoir ni de travailler pour les intérêts politiques ou économiques de quelque intervenant dans le monde équestre.

Nos priorités ont toujours été la qualité de vie du cheval, - qui dépasse le cadre de son bien-être -, ainsi que la méritocratie sportive et le respect de la Charte olympique sous toutes ses formes.

Nous gardons à l’esprit que la Charte olympique établit que « l’intérêt des athlètes constitue un objectif fondamental des tâches du CIO » et que le CIO appelle de tous ses voeux l’implication des athlètes dans des décisions qui concernent leur vie. Ces demandes et propositions des athlètes ont le plein accord et soutien des propriétaires de chevaux, représentés par l’Association des Propriétaires internationaux de saut (JOC), reconnue par la FEI.

Sport mardi 15 novembre 2016
Tradition de la Roque pour Reed Kessler.
Après quelques mois passés sous la selle de Julien Epaillard, Tradition de la Roque (Kannan x Oberon du Moulin) a pris la direction de la Hollande où est installée la cavalière américaine pour prendre part à son premier concours à Maastricht juste à côté de ses nouvelles écuries sous la selle de Reed Kessler qui vient d'en faire l'acquisition. Confiée par la famille Hécart, comme l'avait été précédemment Monalisa LS (Montebello LS), Quatrin de la Roque (Quick Star), Tradition de la Roque aura été commercialisée dans la foulée après avoir notamment remporté le Grand Prix** d'Auvers et accumulé les classements sur la scène internationale.

"C'est vrai que ma collaboration avec la famille Hécart se passe très bien. Ce sont des gens de chevaux et on se fixe des objectifs réalisables. Monalisa m'a permis notamment de remporter le Grand Prix du CSIO***** de Barcelone qui reste un très bon souvenir alors que Quatrin est arrivé à un moment où je n'avais plus trop de chevaux et la Laiterie de Montaigu m'a permis de le conserver. Il m'a rendu de très bons services autant l'an dernier que cette année. L'histoire de Tradition est un peu différente car en me la confiant, la famille Hécart avait décidé que la jument était à commercialiser. J'ai reçu une jument clé en main, parfaitement dressée par Adeline Hécart grâce à qui nous avons pu tout de suite être compétitif. Je pense que Reed Kessler possède avec elle un véritable cheval d'avenir car c'est une jument pleine de qualités avec un gros potentiel.
Rien n'est encore défini pour la suite. J'ai la chance que des gens pensent à moi pour me confier des chevaux. Lorsque cela arrive, je les essaie et je dis toujours le ressenti que j'ai et nous voyons si cela peut coller avec les objectifs que l'on veut se fixer." réagira Julien Epaillard.

Sport samedi 12 novembre 2016
Goldfever et Coupe de Coeur partent en Italie.
Les deux étalons de Ludger Beerbaum, Goldfever (Grosso Z) et Coupe de Coeur (Calido) quittent la famille Neyrat après plusieurs années passées en France pour rejoindre l'Italie et les écuries de Jerry Smit où ils feront la monte en 2017.
Sport vendredi 11 novembre 2016
Quechua d’Emeraude pour assurer la transition.
Les écuries du Montchvreuil ont confirmé l’achat de Quechua d’Emeraude (Ultimo van Ter Moude) afin de venir épauler Chanel (Up To Date) avec un avenir qui s’annonce à très long terme entre Aymeric de Ponnat et la famille Bourgeois qui aura investi cette année dans de nombreux jeunes chevaux. Ces derniers auront fait l’acquisition de poulains aux trois ans notamment dans divers ventes aux enchères comme celles élites et en ligne de Zangersheide ainsi qu'à Fences.
« Notre objectif avec l’achat de Quechua est avant tout qu’il puisse venir épauler Channel qui évolue bien avec Aymeric de Ponnat mais surtout de faire la transition avec les jeunes chevaux dont nous avons fait l’acquisition. Nous avons un projet à très long terme avec Aymeric de Ponnat. Nous avons acquis un premier jeune cheval l’an dernier qui a aujourd’hui 4 ans et nous avons continué nos investissements cette année. Aymeric nous a toujours conseillé et regardé avec nous les différentes acquisitions que nous avons faites. C'était à chaque fois des choix réfléchis et en aucun cas des coups de cœur. Notre objectif sera de former ces jeunes chevaux pour les amener au plus haut niveau possible. Nous avions discuté avec Aymeric et nous nous étions fixé de vendre Ricore Courcelle cette année. L’objectif a été atteint car nous pensions que c’était la bonne année pour le vendre pour l’avenir des écuries et de notre projet. Notre objectif principal est véritablement sportif mais il est certain que vues les bonnes origines des poulains et pouliches que nous avons acquis, il est possible que l’on fasse également un peu d’élevage d’autant que mon mari aime faire naitre quelques poulains par an comme c’est déjà le cas actuellement. » nous expliquera Cécile Bourgeois.