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Immersion visuelle au coeur de l'édition 2025 du CSI 5*-W d'Equita Lyon en vingt-cinq clichés

Antoine Ermann a laisse explosé sa joie sur Floyd des Prés.
Reportages jeudi 6 novembre 2025 Mélina Massias

Au fil du temps, le CHI Longines Equita Lyon est devenu un rendez-vous incontournable du calendrier international, en particulier pour les visiteurs, qui affluent par milliers à chaque nouvelle édition pour vibrer au rythme du grand sport. En 2025, le CSI 5*-W a tenu toutes ses promesses et offert de beaux moments d’émotions, de partage et de confirmation. Studforlife vous propose de remonter le temps de quelques jours et de vous replonger dans l’ambiance qui a envahi Eurexpo il y a une semaine.

Toute utilisation des photographies présentées dans cet album est interdite.

© Mélina Massias

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Pour les équipes organisatrices, le CHI Longines Equita Lyon ne pouvait pas mieux se conclure que sur la victoire d’Olivier Perreau et GL Events*Dorai d’Aiguilly. À trente-neuf ans, le Tricolore a remporté le deuxième Grand Prix 5* de sa carrière, quatre ans après celui de Valence, qu’il avait conquis aux rênes de GL Events*Venizia d’Aiguilly. Avec l’une ou l’autre de ses deux baies, le Rhône Alpin, maître (presque) à domicile à Lyon, a, à chaque fois, mené un podium cent pour cent tricolore ! Ce deuxième succès au plus haut niveau, Olivier Perreau l’a célébré en famille et entouré de son équipe. © Mélina Massias

Mais quel week-end pour Antoine Ermann et Floyd des Prés ! Après une saison remarquable pour leurs débuts au niveau 5*, les deux complices ont une nouvelle fois montré toute leur régularité en bouclant cinq sans-faute en autant de parcours. Cinquième du Grand Prix secondaire vendredi, ils se sont hissés sur la troisième marche du podium de l’étape de la Coupe du monde. De quoi serrer le poing et avoir le sourire. © Mélina Massias

L’Autrichienne Alessandra Reich a dignement fêté son trente et unième anniversaire en signant un sans-faute dans la première manche des Equita Masters présentés par Hermès, samedi soir, avec Oeli R. Son fidèle hongre de onze ans, fils de Denzel van’t Meulenhof, lui avait déjà offert un beau cadeau en 2023, en contribuant à la médaille de bronze historique de l’Autriche aux Européens de Milan. © Mélina Massias

Robin Muhr était l’homme en forme du week-end à Lyon. L’ancien représentant français a signé des sans-faute convaincants, tant avec l’olympique Galaxy HM dans le Grand Prix Coupe du monde qu’avec Foud’Joie de Stel, un Selle Français de dix ans, impeccable sur le tout premier parcours à 1,60m de sa carrière. © Mélina Massias

Comme l’an dernier, Sophie Maher a participé aux épreuves intermédiaires du CSI 5*-W de Londres en compagnie de son cher Sentimiento La Silla, un fils de Casall sur la souche de la grande Ratina. Et peu importe le résultat final, l’Américaine a, à chaque fois, quitté la piste le sourire aux lèvres et les mains posées sur l’encolure de son complice, remercié par de nombreuses caresses. Une belle image, que l’on ne voit jamais trop. © Mélina Massias

Après avoir goûté au niveau 5* à l’occasion du Printemps des sports équestres de Fontainebleau, en début d’année, Camille Condé-Ferreira a remis le couvert à Lyon. Cette fois, l’amazone était accompagnée du tout bon Bassano de Nantuel, l’un des nombreux représentants du très en vogue affixe berrichon et neuvième d’une épreuve à 1,50m. © Mélina Massias



© Mélina Massias

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Philippe Rozier avait choisi Eurexpo pour prendre le départ du dernier CSI 5* de sa carrière. Après plus de quarante ans de succès, le champion olympique par équipe de Rio prend du recul et va s’attacher à transmettre son savoir. Ovationné par le public à chacune de ses apparitions, et même inlassablement applaudi au paddock après son ultime parcours à ce niveau, dimanche, le Tricolore a profité d’une cérémonie toute en simplicité pour adresser quelques mots à ses fans samedi soir. Si une page se tourne, le point final du livre, lui, est encore loin d’avoir été couché sur le papier. © Mélina Massias

Gangster Montdésir et Richard Vogel se sont parfaitement trouvés. Associés depuis septembre seulement, le Selle Français et l’Allemand n’en finissent plus de gagner ! Chacune de leurs trois dernières sorties s'est soldée par au moins une victoire… alors même que le bai de neuf ans ne s’était jamais imposé sur la scène internationale précédemment. Pour leur première épreuve à 1,60m, le néo-duo s’est imposé, vendredi soir, au terme d’un barrage bluffant. © Mélina Massias

S’il s’est imposé dans le Grand Prix Longines, Richard Vogel espérait sans doute en faire de même dans celui de la Coupe du monde avec son champion d'Europe United Touch S, vainqueur sortant de cette épreuve. Mais deux points de temps l’ont empêché de se faufiler au barrage. © Mélina Massias

Dans cette épreuve, United Touch S a affronté son fils, le remarquable Untouched LB, bijou de son éleveuse, Lena Bieler, qui était là pour le voir évoluer sous la selle de Christian Ahlmann. S’il n’a pas touché la moindre barre, le bai a écopé de vingt-deux points de pénalité après une désobéissance. © Mélina Massias

Et puis, dans le label 2* c’est Union Jack 19 qui a fait honneur à la production du spectaculaire fils d’Untouched. Passé dans les écuries de Steve Guerdat, l’alezan est désormais associé à Mathieu Billot, qui semble fonder beaucoup d’espoirs en lui. © Mélina Massias

Presque trop démonstrative jeudi en ouverture de la compétition, Let’s Cream, alias Eleven, la crack de Wilma Hellström a fait étalage de sa classe et de ses possibilités, bien que son deuxième Grand Prix à 1,60m se soit achevé par un abandon. La grise est une petite-fille du confidentiel Divin du Mûrier. © Mélina Massias

Voilà une autre grise qui était scrutée de près. Féline de Hus*HDC, une petite-fille de Silvana*HDC, a fait ses grands débuts au niveau 5* avec… Kevin Staut ! La fille de Kannan s’est honorablement classée quatrième du temps fort de samedi, qui marquait sa première apparition à 1,60m après avoir évolué plusieurs saisons aux côtés de Reynald Angot. © Mélina Massias

Pas de résultat pour l’inoxydable Con Quidam RB ce week-end, mais un bonheur certain de le voir encore plein de fraîcheur et d’envie - parfois débordante - du haut de ses dix-neuf ans. Sa cavalière, Sanne Thijssen, peut désormais compter sur Cupcake pour prendre la relève de son brillant complice. La Néerlandaise et la fille de Chacco-Blue sont d’ailleurs les seules à avoir marqué des points sur les deux premières étapes de la ligue d’Europe occidentale Longines de la Coupe du monde. © Mélina Massias



Ping Pong van de Lentamel poursuit sa progression. Son cavalier, Gerrit Nieberg, a pris son temps pour aguerrir son génial fils d’Emerald van’t Ruytershof et n’est pas loin de pouvoir récolter les fruits de sa patience. Et si ces deux-là pouvaient prétendre à intégrer la Mannschaft pour les Mondiaux d’Aix-la-Chapelle, en 2026 ? © Mélina Massias

Annelies Vorsselmans, bien encadrée par son compagnon, un certain Jeroen Dubbeldam, continue de monter en puissance, notamment avec le très démonstratif Trezeguet, un petit-fils de Tornesch. La Belge avait débuté sa carrière… en dressage, et notamment participé aux championnats d’Europe Poney en 1997 dans cette discipline ! © Mélina Massias

Les superlatifs manquent pour décrire ce duo que beaucoup imaginent déjà briller dans les plus grands championnats de la planète. Sara Brionne et Grand Duc du Paradiso ont magnifiquement conclu leur année 2025, déjà exceptionnelle, par trois parcours parfaits à 1,50m pour leur première fois au niveau 5*. Chapeau. © Mélina Massias

© Mélina Massias

Sous la selle de Julien Epaillard, un compétitif Selle Français peut en cacher un autre. Alors que Donatello d’Auge a beaucoup donné ces derniers mois, semblant parfois un peu moins souverain qu’à l’accoutumée, la consécration du puissant Fringan de Vesquerie arrive à point nommé. Deuxième du Grand Prix Coupe du monde à seulement neuf ans et pour sa première tentative à ce niveau, le grand alezan né chez la famille Coulombier laisse rêveur pour l’avenir. © Mélina Massias