Par les gains, qui sont les meilleurs chevaux de neuf ans de l’année 2025 ? (1/2)
Cette année, la génération 2016, celle des “G” du Selle Français et des “Q” du BWP, a impressionné sur la scène internationale. Alors que 2025 s’achèvera dans quelques semaines, certains noms se détachent déjà comme de futurs grands. Qalista DN, Gadget Mouche et Kilmister se sont imposés en Grands Prix 5* avec les Belges Gilles Thomas et Nicola Philippaerts et l’Allemand Philipp Weishaupt, Qonquest de Rigo a enchaîné les prestations de très haute volée avec Bertram Allen jusqu’à disputer les championnats d’Europe de La Corogne, Be Golden Hawk a époustouflé son monde à Aix-la-Chapelle aux côtés de Georgia Tame, Grand Duc du Paradiso et Sara Brionne fascinent, tandis que Good Star du Bary, Levi Noesar, For Chacco*TN ou encore Qastaar Castanoo, alias Steely Dan, poursuivent leur montée en puissance. À l’aube d’une année 2026 cruciale, avec en point d’orgue les championnats du monde d’Aix-la-Chapelle, ces jeunes stars méritent un coup de projecteurs. Voici, selon les données de l’application Jumpr, le Top 20 des chevaux de neuf ans ayant amassé le plus de gains entre le 1er janvier et le 12 novembre 2024.
20 - Untouched LB (United Touch S x Windows vh Costersveld, alias Cornet Obolensky) - 83.209 € de gains
Untouched LB avait entamé l’année sur les chapeaux de roue en se classant quatrième du Grand Prix 5* de Paris, en mars, au Saut Hermès. Sous la selle de Christian Ahlmann et sous les yeux de son éleveuse et co-propriétaire, Lena Bieler, le fils du phénomène United Touch S avait impressionné en bouclant un double sans-faute souverain. Il a ensuite conclu ces deux apparitions suivantes à ce niveau avec une faute, et terminé dixième du Grand Prix 4* de Bourg-en-Bresse entre temps, en réalisant l’unique clear round de l’acte initial. Moins en forme à Saint-Tropez puis à Aix-la-Chapelle, le sensible bai a profité d’une pause bien méritée, avant un retour triomphal à Lanaken, sur les terres de son pilote, avec une troisième place dans le Grand Prix des Sires of the World de Lanaken. Dans la foulée, le duo a terminé septième du temps fort du Longines Global Champions Tour de Rome, puis connu une incompréhension dans le Grand Prix Coupe du monde de Lyon. Malgré un score final de vingt-sept points, le jeune étalon n’a pas frôlé la moindre barre dans cette épreuve. Encore tendre et parfois submergé, Untouched LB n’en reste pas moins intrinsèquement l’un des meilleurs chevaux de sa génération. Vingtième de ce classement, le chic bai a toutes les cartes en main pour grappiller plusieurs rangs dès l’an prochain, à condition que son cavalier gère au mieux sa carrière.

À seulement neuf ans, Untouched LB a déjà obtenu deux classements en Grands Prix 5*. © Mélina Massias
19 - Gengis Kann de Londe (Kannan x Diamant de Semilly) - 83.681 € de gains
Emeric George a toujours pensé le plus grand bien de Gengis Kann de Londe et les résultats de ce dernier lui donne raison ! Né chez Mathias et Pierre Spilmann, le Selle Français a rejoint de Cian O’Connor en fin d’année dernière. Cette saison, le hongre bai au talent indéniable a amassé 83.681 €, soit à peine plus qu’Untouched LB, mais en nettement moins de sorties ! Dans une tout autre stratégie, le petit-fils de Jaunsari de Londe, très bonne compétitrice jusqu’à 1,40m avec Mathias Spilmann et créditée d’un ISO 140 en 2010, n’a encore jamais sauté à 1,60m, ni en Grand Prix 5*. En revanche, il affiche 83 % de sans-faute à 1,55m, pour cinq parcours parfaits sur six. À cette hauteur, Gengis Kann de Londe a obtenu une deuxième place à Abou Dabi, une victoire à Madrid, un sixième rang à Dublin, un troisième à Valkenswaard et terminé neuvième du Grand Prix du CSIO 3* de Vejer de la Frontera, fin octobre ! Net et sans bavure. Formé par Amélie Lebrisollier Spilmann à quatre, cinq et six ans, le hongre avait rejoint Emeric George en cours d’année 2022. Ensemble, le duo avait déjà laissé présager d’un avenir radieux, en occupant la sixième position du Grand Prix 4* de Gijon, pour leur dernière apparition commune, en août 2024. Les deux complices s’étaient aussi imposés à 1,45m sur la scène nationale et obtenu plusieurs bons classements à 1,50m. Bref, le binôme irlandais de Gengis Kann de Londe ne s’est pas trompé en l’enrôlant et semble bien conscient du potentiel de sa pépite, qui ne devrait pas tarder à débouler au plus haut niveau.
Le remarquable Gengis Kann de Londe poursuit sa montée en puissance avec Cian O'Connor. © Sportfot
18 - H&M*Que Sera JW van de Moerhoeve (By Cera d’Ick x Diamant de Semilly) - 85.508 € de gains
Une touche de sang français et une lignée dans l’air du temps. Sous la selle de Nicola Philippaerts, H&M*Que Sera JW van de Moerhoeve montre une certaine aisance face au chronomètre. Liée à une certaine Millfield Colette, l’une des révélations de l’année sous la selle de Donald Whitaker, via une jument de la Stamm 1333 du Holstein née en 1946 et prénommée Edelia, la jeune BWP a remporté une épreuve à 1,55m du côté de New York. Elle s’est aussi montrée très compétitive à 1,50m, tant en Europe qu’outre Atlantique. Si elle n’est pas encore aussi mature que son voisin d’écuries Gadget Mouche, Que Sera, née pour le compte de Jan Wuytack et de l’élevage de Moerhoeve de Kurt Declercq, qui a notamment produit Mumbai van de Moerhoeve ou encore le prometteur Opium JW van de Moerhoeve. Avant de rejoindre son actuel cavalier, à la fin du printemps dernier, la fille de By Cera d’Ick, Que Sera a connu un parcours atypique. Lancée en compétition par Frederik Wuytack, qui l’a présentée aux Mondiaux de Lanaken à six et sept ans, elle a débuté l’année 2023 aux rênes… d’Olivier Philippaerts, avant de rejoindre, après quelques parcours seulement, le Suédois Peder Fredricson ! Malgré de bonnes prestations dans les épreuves Jeunes Chevaux, le duo s’est rapidement séparé, faisant place à Stijn Timmermann début 2024.
Cette saison, Que Sera JW van de Moerhoeve s'est montrée plutôt compétitive avec Nicola Philippaerts. © Sportfot
17 - Quix des Dames, alias Styles (Windows vh Costersveld, alias Cornet Obolensky x Canturo) - 95.387 € de gains
Pour donner vie à Quix des Dames, plus tard renommé Styles, le haras des Dames d’Agnès Demesmaeker a utilisé l’un des meilleurs reproducteur BWP, le fabuleux Windows vh Costersveld, et une souche maternelle française ayant déjà fait ses preuves. En effet, Décibelle du Roc, la grand-mère de Quix, est à l’origine du crack Qlassic Bois Margot, ancien complice de premier ordre du Lorrain Simon Delestre ! De cette lignée française sont aussi issus Horizon du Roc, Nistria et surtout le champion d’Europe individuel Rochet Rouge*M ! Retour dans le présent. Dès le début d’années, Quix s’est démarqué aux rênes de l’Américain Aaron Vale. Le duo s’est classé dans plusieurs épreuves à Ocala en janvier et février, puis a conquis son premier Grand Prix 4* en juin, à Upperville. Rotterdam a marqué la première apparition dans un Grand Prix 5* pour le gris, qui a quitté la piste avec une faute. Le BWP a ensuite sauté à Aix-la-Chapelle, Dinard et Dublin, où il était engagé dans la Coupe des nations (0+8). Pour sa dernière sortie en date, à Calgary, début septembre, Styles a à nouveau pris le départ d’une épreuve par équipes, sur la gigantesque piste du CSIO 5* de Calgary ! Cette fois, il a conclu son premier parcours avec une faute, avant de rectifier le tir en seconde. Une réussite qui rend assurément fiers son éleveuse, mais aussi Maxime Tips, Brent d’Haese et Kristen Rombouts, ses anciens cavaliers. To be continued, comme on dit aux Etats-Unis !
Très bien né, Quix des Dames, alias Styles, dévoile tout son potentiel aux rênes d'Aaron Vale. © Sportfot
16 - Vida Loca (Vigo d’Arsouilles x Windows vh Costersveld, alias Cornet Obolensky) - 95.834 € de gains
En père, et de plus en plus en père de mère, Windows vh Costersveld demeure un incontournable de l’élevage mondial. Comme Untouched LB, Vida Loca en est une petite-fille. En Europe, et en France en particulier, l’alezane est loin d’être une inconnue. À huit ans déjà, son talent éclaboussait la scène mondiale. Elle avait d’ailleurs remporté le Grand Prix 4* de Canteleu en mai, avant de signer d’autres très bons résultats à un niveau plus que respectable pour un cheval de huit ans, dont plusieurs classements à 1,60m. Propulsée encore un cran plus haut dès le passage à l’an 2025 par Kevin Staut, son cavalier depuis 2022, la fille de Vigo d’Arsouilles a accroché le septième rang du Grand Prix Coupe du monde de Bâle en janvier puis s’est envolée pour l’Amérique. Huitième du Grand Prix du CSIO 5* d’Abou Dabi, la représentante du stud-book Zangersheide a baissé de pied à Ocala, en infligeant deux éliminations, dont une dans le Grand Prix, à son cavalier. Malgré trois victoires entre mai et juin, dont le Grand Prix du CSI 4* de Cabourg Classic, la confiance et le brillant de cette attachante jument a mis du temps à refaire surface. Dotée d’un potentiel absolument hors norme, Vida Loca a conclu ses trois derniers parcours à 1,60m par une faute. Taillée pour les très, très grands rendez-vous, gageons que la star de l’élevage de l’Italien Berardino Di Carlo transforme l’essai et ne se brûle pas les ailes.

Vida Loca fait assurément partie des meilleurs chevaux à avoir croisé la route de Kevin Staut. © Mélina Massias
15 - Georgina de Carles (Kannan x Quidam de Revel) - 102.269 € de gains
Cette Selle Français s’est distinguée pour des raisons différentes de celles de ses conscrits. En effet, Georgina de Carles n’a pris part à sa première épreuve à 1,55m que début novembre et a accusé dix-sept points de pénalités. Encore méconnue, la fille de Kannan s’est pourtant montrée suffisamment performante pour figurer au quinzième rang de ce classement. Née dans l’Aude, chez Danielle Prat, la baie a fait ses débuts en compétitions aux rênes de Thomas Ponthieu, d’abord dans des épreuves Formation. Après un premier tour parfait sur le Cycle classique des cinq ans, elle a poursuivi son apprentissage par des Préparatoires et le championnat de France Major, puis a rejoint François Pelamatti à l’été 2023 et effectué deux parcours avec Tomas Couve Correa. Depuis, elle défend la bannière argentine de son cavalier et co-propriétaire, Luis Pedro Biraben. L’occasion pour Georgina de Carles, lauréate de deux épreuves à 1,50m au Mexique, de mettre en avant ses solides origines. Sa souche basse est celle de la précieuse Ma Pomme, présente, entre autres, dans le pedigree des médaillés olympiques de Steve Guerdat Nino des Buissonnets et Dynamix de Bélhème, tandis que sa grand-mère, Tornade du Prelet, est aussi celle de la vive Ballerine du Vilpion, complice de Roger-Yves Bost ! Leurs mères, nées à un an de différence, sont d’ailleurs propres sœurs. Rafale de Carles, à l’origine de Georgina, a aussi donné Arpège (Quento Sange), classé en Grands Prix 3*, et Danslevent de Carles (Kannan), respectivement crédités d’un ISO 148 et 142. Et si la belle, mère de Kaprice de Courcel (Andiamo Semilly), cinq ans, et dont la jeune fratrie semble montrer de belles choses, crééait la surprise en 2026 ?

Moins connue que certaines de ses conscrits pour l'instant, Georgina de Carles est très en réussite sous la selle de son cavalier argentin. © Sportfot
14 - Corinna (Windows vh Costersveld, alias Cornet Obolensky x Kannan) - 107.125 € de gains
Décidément, en 2015, les éleveurs ont chaviré face au charme des éprouvés Windows vh Costersveld et Kannan ! Corinna, une autre pépite de Cian O’Connor, réunit ces deux sires dans son croisement. La Zangersheide n’a rejoint le drapeau de l’île d’Emeraude qu’en octobre, mais n’a pas tardé à confirmer sa qualité. À Vejer de la Frontera, elle s’est ainsi classée dans deux épreuves, terminant notamment quatrième d’un Grand Prix 2* après un double zéro. Si le boss de Karlswood a misé sur cette baie, issue de la même lignée que le merveilleux Turbo, révélé par Kevin Jochems il y a quelques années, vendu et bien plus discret depuis, c’est en grande partie en raison de ses résultats avec son ancienne cavalière : Kara Chad. Aux rênes de la Canadienne, Corinna n’a pas manqué grand-chose cette année, affichant 89 % de sans-faute dans les neuf tours initiaux auxquels elle a pris part à 1,50m et 78 % de Top 10 à ce niveau ! Avec trois victoires internationales cette année, dont deux en Grands Prix 2*, l’énergique petite baie, qui n’est pas sans rappeler un certain Comme Il Faut, ne pouvait pas passer inaperçue. Corinna a été élevée par Kara Chad et Matthew Sampson, qui suivront désormais à distance les performances de cette boule de feu dont ils pensent le plus grand bien.
Après avoir enchaîné les classements aux côtés de Kara Chad, son éleveuse, Corinna a tapé dans l'oeil de Cian O'Connor. © Sportfot
13 - Clearround Il Mondo (Comme Il Faut x Clearway) - 109.876 € de gains
Une nouvelle fois, Clearround Il Mondo représente le sang de Windows vh Costersveld, cette fois via l’un si ce n’est le meilleur de ses fils, Comme Il Faut. Malgré une saison très allégée, le hongre, figure de la bonne Stamm 1155 du Holstein, d’où Baloussini et Dieu Merci van T&L, entre autres, est parvenu à glaner près de 110.000 euros de gains. Il faut dire qu’il a débuté l’année de belle manière, à Doha, sous la selle de Millie Allen en remportant deux épreuves à barrage, une à 1,50m lors d’un CSI 4* puis une autre, cette fois à 1,55m et dans le label supérieur ! Après trois mois de pause, le gris, né chez Tim Naessens, a frappé très, très fort au CSIO 3* de Kronenberg. En effet, aux Pays-Bas il a aligné un double zéro dans la Coupe des nations, puis un autre dans le Grand Prix, se plaçant deuxième, juste derrière le très expérimenté Vertigo du Désert de Luciana Diniz. Cette très belle note a été la dernière de la partition commune de Millie Allen et son complice. Ce dernier a été vendu dans la foulée à la Suissesse Nadja Peter Steiner, qui l’a découvert sur la scène internationale seulement début octobre, à Fontainebleau, puis au CSI 4* de Liège, deux semaines plus tard. Jugé très talentueux par son ancienne cavalière, prenant la suite de son naisseur et de Jan Clays sur son dos, Clearround Il Mondo a un nom qui le prédestine à… aligner les sans-faute autour du monde !

La saison prochaine, Clearround Il Mondo devrait poursuivre sa belle lancée avec Nadja Peter Steiner. © Sportfot
12 - Be Sky Hawk (Figo de Muze, alias Golden Hawk x Harlequin du Carel) - 111.895 € de gains
Une lignée irlandaise, rappelant ses propres origines, une touche de Selle Français, son étalon fétiche, le tout saupoudré de quelques essences Holsteiner : voilà le joli melting-pot qui a permis à Shane Breen d’accueillir Be Sky Hawk un jour de juin 2016. Associé à Michael Duffy depuis ses débuts internationaux en 2021 - malgré quelques apparitions aux rênes de Tony Stormanns ci et là -, le hongre AES a vu sa courbe de progression grimper en flèche tout au long de l’année. Huitième de son premier Grand Prix 4* de la saison à Ocala, il a ensuite occupé le cinquième rang d’une épreuve à barrage à 1,55m au CSI 5* de Windsor en mai, dans une épreuve où seules deux paires avait réussi un parcours vierge de toute pénalité, puis le quatrième de son tout premier Grand Prix 5*, joué à Traverse City, début août. Vainqueur de l’épreuve collective à 1,50m à Tryon en octobre, Be Sky Hawk s’est octroyé la huitième position du Grand Prix 5* associé, dans lequel de nombreux chevaux de sa génération se sont distingués dans un barrage enivrant. Plaisant malgré son galop atypique, le gris montre une palette riche et solide au-dessus des obstacles, qui pourrait aisément le propulser au sein des rangs de la compétitive équipe irlandaise dès la saison prochaine, si ses résultats se confirment.
Michael Duffy a trouvé en Be Sky Hawk un complice de choix pour l'avenir ! © Sportfot
11 - Be Golden Lynx (Figo de Muze, alias Golden Hawk x Lux) - 118.160 € de gains
Quelle réussite pour l’élevage de Shane Breen, qui ne place non pas un mais deux représentants au sein de ce Top 20 des chevaux de neuf ans ayant accumulé le plus de gains en 2025 ! À Aix-la-Chapelle, cet été, Be Golden Lynx et Georgia Tame ont crevé l’écran. Lancés dans le grand bain par Di Lampard, qui a toujours l’œil pour le faire au moment opportun, les deux complices faisaient partie des grands espoirs du solide clan britannique pour les années à venir. Mais la vie en a décidé autrement et le démonstratif bai brun a rejoint Géraldine Straumann juste après le mythique CHIO allemand. Ensemble, le néo-duo a bouclé un sans-faute dans la deuxième manche de la Coupe des nations du CSIO 4*-W de Rabat, fin septembre, et continue de faire connaissance sur des épreuves intermédiaires. Avant leur coup d’éclat au cœur de l’écrin qui accueillera les prochains championnats du monde, Be Golden Lynx et Georgia Tame s’étaient octroyé cette année une quatrième place dans un Grand Prix 5* à d’Abou Dabi en avril, une onzième dans le temps fort du CSI 4* de Mâcon pour un point de temps dépassé, puis une deuxième dans celui du CSI 4* de Wiesbaden. Avant 2025, le grand AES, fruit d’un croisement similaire à celui de Be Sky Hawk, entre Figo de Muze et une jument ISH, a connu plusieurs cavaliers, dont Millie Allen, Michael Duffy, Amélie et Christina Gachoud, Bruno Martins Costa et Katie Speller, mais n’avait pris le départ que d’un seul parcours annoncé à 1,50m.

Georgia Tame et Be Golden Lynx ont impressionné à Aix-la-Chapelle, si bien que Géraldine Straumann a décidé de faire l'acquisition du démonstratif fils de Figo de Muze, alias Golden Hawk ! © Mélina Massias
La suite de ce classement sera publiée samedi sur Studforlife.com…
Photo à la Une : Gengis Kann de Londe et Cian O'Connor à La Baule, où tous deux ont récolté une deuxième place dans une épreuve à 1,50m. © Mélina Massias





