CSIW***** Lyon
Reining 2016 Equita?Lyon, c'est avant tout une grande fête autour du cheval. L'un des seuls endroits où l'élite de disciplines très diversifiées cohabite tout en côtoyant également de nombreux amateurs. Equita est difficilement classifiable … mais c'est avant tout un énorme succès. Cette année, Roger-Yves Bost s'est plié à l'essai du reining en compagnie de Pierre Vola, cavalier de dressage olympique français. Si le médaillé d'or par équipe a mis un peu plus de temps à se mettre dans l'ambiance, il n'en aura pas été de même du second qui a tout de suite apprécié le côté show de l'épreuve. Pierre Vola affichait un large sourire après cette expérience : « J'aime le show et le spectacle. Le cheval aussi s'est pris au jeu, c'était donc très sympa. C'est clair qu'en faisant cela, je peux tout de suite comprendre l'attrait qu'a eu Anky van Grunsven pour cette discipline car on sort véritablement des sentiers battus du dressage et en même temps, cela reste du dressage de précision. Ce ne sont évidemment pas du tout les mêmes modèles de chevaux, ils sont faits pour cela mais il y a une autre finesse des aides et une autre complicité avec le cheval. Il y a beaucoup de travail, autant qu'en dressage pour passer 2-3 minutes dans la piste où l'on doit faire plein de choses avec le cheval. Il faut une complicité pour cela et certainement plusieurs méthodes mais en tout cas, je me suis aperçu que le cheval était véritablement à l'écoute. J'ai accepté dès qu'on me l'a proposé car c'était une véritable découverte. Je suis quelqu'un d'ouvert et en plus, je regarde souvent sur Equidia quand on en propose. Cela fait partie de la magie d'Equita'Lyon. » Bilan satisfaisant aussi pour Roger-Yves Bost : « Je n'osais pas trop … on m'avait dit qu'il ne fallait pas le dérégler (rires). Je voulais être sûr qu'il avance un peu … puis finalement, faut juste les laisser faire car ils savent tout faire. Mon cheval avait de l'expérience. C'était une bonne approche. En entrant, mon cheval se décalait un peu, il avait peur du fond, je ne voulais donc pas l'empêcher non plus. J'avais déjà testé il y a quelques années mais c'est la première fois que j'ai l'occasion de faire un peu tout et c'était très bien. C'était une belle expérience puis il y a des ressemblances. Quand je travaille mes chevaux, je fais souvent galop-arrêt et c'est vrai qu'avec le sol un peu mou, cela s'y prête bien. C'est la même chose pour tourner avec la rêne extérieure. Ce sont des petites choses. Je ne vais pas changer l'arrosage de ma piste pour autant même si parfois pour sauter, on aime bien aussi avoir un sol plus mou car c'est plus confortable pour les boulets. En tout cas, ce sont des chevaux avec un caractère en or, ils ne bougent pas. Je vais essayer de faire ça avec mes chevaux mais … doucement ! » Roger-Yves Bost était fort sollicité. A peine le chapeau de cow-boy était-il rangé qu'il avait rendez-vous pour une séance de d'autographes.
Reining 2016 Equita?Lyon, c'est avant tout une grande fête autour du cheval. L'un des seuls endroits où l'élite de disciplines très diversifiées cohabite tout en côtoyant également de nombreux amateurs. Equita est difficilement classifiable … mais c'est avant tout un énorme succès. Cette année, Roger-Yves Bost s'est plié à l'essai du reining en compagnie de Pierre Vola, cavalier de dressage olympique français. Si le médaillé d'or par équipe a mis un peu plus de temps à se mettre dans l'ambiance, il n'en aura pas été de même du second qui a tout de suite apprécié le côté show de l'épreuve. Pierre Vola affichait un large sourire après cette expérience : « J'aime le show et le spectacle. Le cheval aussi s'est pris au jeu, c'était donc très sympa. C'est clair qu'en faisant cela, je peux tout de suite comprendre l'attrait qu'a eu Anky van Grunsven pour cette discipline car on sort véritablement des sentiers battus du dressage et en même temps, cela reste du dressage de précision. Ce ne sont évidemment pas du tout les mêmes modèles de chevaux, ils sont faits pour cela mais il y a une autre finesse des aides et une autre complicité avec le cheval. Il y a beaucoup de travail, autant qu'en dressage pour passer 2-3 minutes dans la piste où l'on doit faire plein de choses avec le cheval. Il faut une complicité pour cela et certainement plusieurs méthodes mais en tout cas, je me suis aperçu que le cheval était véritablement à l'écoute. J'ai accepté dès qu'on me l'a proposé car c'était une véritable découverte. Je suis quelqu'un d'ouvert et en plus, je regarde souvent sur Equidia quand on en propose. Cela fait partie de la magie d'Equita'Lyon. » Bilan satisfaisant aussi pour Roger-Yves Bost : « Je n'osais pas trop … on m'avait dit qu'il ne fallait pas le dérégler (rires). Je voulais être sûr qu'il avance un peu … puis finalement, faut juste les laisser faire car ils savent tout faire. Mon cheval avait de l'expérience. C'était une bonne approche. En entrant, mon cheval se décalait un peu, il avait peur du fond, je ne voulais donc pas l'empêcher non plus. J'avais déjà testé il y a quelques années mais c'est la première fois que j'ai l'occasion de faire un peu tout et c'était très bien. C'était une belle expérience puis il y a des ressemblances. Quand je travaille mes chevaux, je fais souvent galop-arrêt et c'est vrai qu'avec le sol un peu mou, cela s'y prête bien. C'est la même chose pour tourner avec la rêne extérieure. Ce sont des petites choses. Je ne vais pas changer l'arrosage de ma piste pour autant même si parfois pour sauter, on aime bien aussi avoir un sol plus mou car c'est plus confortable pour les boulets. En tout cas, ce sont des chevaux avec un caractère en or, ils ne bougent pas. Je vais essayer de faire ça avec mes chevaux mais … doucement ! » Roger-Yves Bost était fort sollicité. A peine le chapeau de cow-boy était-il rangé qu'il avait rendez-vous pour une séance de d'autographes.