Entre ses grandes écuries et son château, Chantilly, sous les couleurs Classic des équipes de GRANDPRIX Events, a fait la part belle au sport et au saut d’obstacles la semaine passée. Sous un ciel changeant, tantôt menaçant tantôt ensoleillé, les sourires et les victoires ont plu dans l’Oise. Retour sur quelques-uns des moments marquants de l’événement cantilien.
Les photos présentées dans cet album ne sont pas libres de droits. Toute reproduction est interdite.
Que d’émotions vécues par Luciana Lossio, lauréate de l’épreuve reine du CSI 4* de Chantilly Classic avec Lady Louise Jmen, une jument brésilienne qui n’aurait jamais dû atteindre un tel niveau. © Mélina Massias
© Mélina Massias
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La Brésilienne a pu partager ce grand moment, sa première victoire en Europe, avec ses proches. © Mélina Massias
Il faut dire que Luciana Lossio et sa complice de quatorze ans n’ont pas volé leur succès. Le parcours imaginé par Grégory Bodo, qui officiera également aux Jeux olympiques de Paris cet été, a tenu toutes ses promesses et maintenu un suspense implacable jusqu’à la toute fin du barrage. © Mélina Massias
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Juliette Faligot et Arqana de Riverland semblent se plaire à Chantilly Classic. Douzième du Grand Prix 4* l’an dernier, les deux attachantes complices ont fait encore mieux cette fois, en prenant la deuxième place de cette même épreuve. De quoi donner du baume au cœur de la Tricolore, qui vient juste de retrouver sa fidèle Selle Français, confiée quelques mois à John Whitaker, dans l’espoir de la voir briller à Versailles. © Mélina Massias
À la reconnaissance du barrage, Juliette Faligot était suivie de près. La mascotte des événements GRANDPRIX avait dû flairer la bonne forme de l’amazone ! © Mélina Massias
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Alise Oken va se souvenir de ses quatre jours passés à Chantilly. Très en forme, l’Américaine a brillé, jusqu’à décrocher la troisième place du Grand Prix, aux rênes de sa photogénique et pétillante Gelvera. © Mélina Massias
La cavalière de trente-trois printemps a pu compter sur les conseils de Markus Beerbaum pour optimiser ses résultats. © Mélina Massias
Aussi à l'aise sous les lumières artificielles de Monaco que sur l'herbe et sous la pluie de Chantilly, Inès Joly est la cavalière en forme du moment. Forte de sa première victoire en Grand Prix 5* il y a dix jours avec Ambassador, la souriante jeune femme a brillé de mille feux à Chantilly, dans le label 2* comme dans le CSI 4* et son épreuve reine, conclue à la quatrième place avec le jeune Platini de Kalvarie ! Chapeau.
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Samedi, dans le temps fort du label 4*, l’écurie Guillet n’a pas démérité. Associé à Jordan Molga M, Nicolas Delmotte n’a concédé qu’un point de temps, se classant sixième, juste devant Mégane Moissonnier et son Bracadabra, auteurs du parcours à quatre points le plus rapide. © Mélina Massias
Quel coup dur pour Emeric George ! Local de l’étape, l’Oisien y a cru jusqu’au bout avec son fidèle Calisco de Terlong, mais tous ses espoirs se sont envolés sur le dernier oxer du tour initial, que son bai a refusé de franchir. © Mélina Massias
Sentiment amer aussi pour Charles-Henri Fermé, toutefois reconnaissant envers son cher Bellini Dufaur de L après un parcours de très bonne facture. © Mélina Massias
En réussite tout l'hiver outre-Atlantique, Jordan Coyle a honoré Chantilly Classic de sa présence et misait même sur son meilleur complice, le bien nommé For Gold. Ce n’est pas passé cette fois, mais l’Irlandais saura à coup sûr prendre sa revanche très prochainement. © Mélina Massias
Ehning Flamingo a un sacré nom à porter. À dix ans, le plaisant gris de Pénélope Leprevost prenait part à sa première épreuve à 1,55m, à l’occasion du Grand Prix 4* de Chantilly. Le couple n’a commis qu’une faute sur un parcours exigeant et semble en bonne voie pour faire parler de lui dans les mois à venir. Une bonne nouvelle pour la championne olympique par équipe de 2016, dont le cheval de tête, Bingo del Tondou, est convalescent. © Mélina Massias
La pluie n’a pas découragé les nombreux spectateurs, qui ont pris d’assaut les tribunes, parapluies à la main. © Mélina Massias
Pour achever la préparation de son fabuleux Gamin van’t Naasteveldhof, Edouard Schmitz avait choisi Chantilly. Et quelle meilleure façon d’aborder les Jeux olympiques qu’avec une victoire dans une épreuve à barrage ? En pleine forme, le séduisant bai a ensuite profiter de sorties en tout genre durant le week-end, tantôt sous la selle de son cavalier, tantôt avec sa groom. © Mélina Massias
Les jeunes chevaux étaient aussi à l’honneur. Edward Levy a imposé Cashy, né Cash Cassino GP, un fils de Cash and Carry et petit-fils de Cassini I, dans l’épreuve réservée aux montures de huit ans. © Mélina Massias
Cette même épreuve fût l’occasion de voir à l'œuvre Labelle ES, championne des sept ans aux Pays-Bas avec Gaj Riossa et désormais associée à l’Italien Giampiero Garofalo. Pour rappel, cette fille de Mosito van het Hellehof est issue de la souche du regretté Plot Blue. © Mélina Massias
Du côté des sept ans, la palme est revenue au gris Vanilla, un fils d’Emerald van’t Ruytershof et petit-fils de l’ISH Gatsby. Guidé par l’Irlandais Emily Turkington, le hongre à la lignée maternelle modeste a été supersonique, achevant son barrage avec plus de deux secondes d’avance sur ses concurrents. © Mélina Massias
Fils de la toute bonne Aline d’Helby, Helby, digne fils de sa mère, n’est pas passé inaperçu sous la selle d’Alexa Ferrer, faisant étalage de ses capacités. © Mélina Massias
Pourtant bien mal lancé dans son week-end, le très en forme Nicolas Sers a renversé la vapeur pour s’offrir une belle victoire sur son surpuissant Eleven de Riverland, un descendant de Kannan. © Mélina Massias
À l’observer en bord de piste, Toronto Raptor ne laisse pas transparaître son origine paternelle pour le moins originale. Le complice de la Suisse Barbara Schnieper est un fils de… Totilas, célèbre étalon de dressage ! Le duo s’est même classé deuxième de l’épreuve majeure de vendredi. © Mélina Massias
Et la troisième place du petit Grand Prix Defender n’a pas déçu la Luxembourgeoise Odile Gierech, qui a arboré un immense sourire après un rapide double clear round de son Hurricane DB, elle qui n'a disputé qu'une poignée de CSI 4* dans sa carrière. © Mélina Massias
Rendez-vous est déjà pris pour immortaliser de nouveaux souvenirs dans un cadre toujours plus féérique en 2025 ! © Mélina Massias
Photo à la Une : Alise Oken et Gelvera en démonstration devant un arrière-plan des plus sympathiques. © Mélina Massias
Toutes les épreuves de Chantilly Classic sont à (re)voir sur GRANDPRIX.tv.