Une seconde médaille belge aux Jeux Olympiques après 45 ans d'attente, cela se fête !
Les quatre mousquetaires belges et leur capitaine enchainent les fêtes et les réceptions depuis leur retour en Belgique... même s'ils ont déjà repris le chemin des terrains de concours avec succès. Quatrième du Grand Prix 5* de Londres la semaine dernière avec Faut Il des 7 vallons, Grégory Wathelet a pris cette semaine la neuvième place du Grand Prix 5* de Valkenswaard avec Cocktail de Talma avant de remporter le lendemain le Grand Prix 2* avec l'une de ses dernières recrues Berline du Maillet qui faisait ses débuts à ce niveau.
Si toute l'équipe belge était bien présente, Grégory Wathelet n'avait pas oublié non plus Yves Vanderhasselt qui aurait dû faire partie de cette aventure sans le forfait de sa jument quelques jours avant le départ.
L'ancien champion de Belgique, double médaillé aux championnats d'Europe, n'avait pas manqué d'inviter ses plus fidèles propriétaires qui l'ont accompagné depuis ses débuts tel Robert Bragard, Nadine Motmans ou encore Bernard Dandrifosse, toujours présent à ses côtés, mais aussi tous les coachs qui lui ont permis de devenir celui qu'il est aujourd'hui comme Hervé Daout, Félix Brasseur, Fabrice Kettmus, Lionel Collard Bovy ou encore Frédéric Pirmolin qui l'accompagne encore aujourd'hui.
Quelques semaines seulement après son arrivée, le petit Théo Wathelet était également bien présent avec sa maman Pauline Delaunay pour fêter la médaille de son papa... et il n'aura pas manqué d'être aussi gâté que ce dernier par les invités.
Ci-dessus, le journaliste de la RTBF Pierre Deprez était bien présent tandis que Michel Guiot et Maxime Denis du haras de Talma avaient fait la route de Champagne-Ardenne pour l'occasion.
Grégory Wathelet peut toujours compter sur ses plus fidèles amis à l'image de Benjamin Lambillotte (ci-dessus).
Cavalier des écuries Wathelet, Manuel Thirry retrouvait également son formateur Gilles Botton, ici accompagné de François Bossu (ci-dessous).
La force de Grégory Wathelet est aussi de savoir fédérer et créer des relations humaines autour d'un projet comme le fut le "sauvetage" de Nevados mis en vente par son propriétaire et qui fait désormais vibrer des familles en Suisse, en Allemagne, en Norvège et ailleurs au sein d'un consortium acquis à la cause du belge.