La victoire de Julien Epaillard et Donatello d’Auge lors de la finale de la Coupe du monde de Bâle a été retentissante. Mais elle n’a pas été le seul moment marquant de ce rendez-vous indoor. Retour, à travers cet album photo, sur des découvertes et d’autres moments choisis d’un championnat réussi.
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© Mélina Massias
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Que d'émotions autour de Julien Epaillard et Donatello d'Auge, sacrés à Bâle. Caroline Belouet, la groom du fils de Jarnac, et Susana Garcia Cereceda Epaillard, l'éleveuse du baie, ont vécu cette victoire pleine d'émotions aux premières loges. © Mélina Massias
Ben Maher et Kevin Staut ont accompagné le numéro quatorze mondial sur le podium. © Mélina Massias
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Même avec un pied cassé, le triple champion olympique Ben Maher s'est distingué avec son styliste et démonstratif Point Break. Pour son premier championnat ensemble, le duo s'est hissé au deuxième rang. © Mélina Massias
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À seize ans, Visconti du Telman a décroché le plus beau résultat de sa carrière, sous les yeux de son éleveuse et propriétaire, Françoise Sanguinetti, en s'offrant la troisième place de cette finale indoor. © Mélina Massias
Avec le seul double zéro de la finale de dimanche, Out Of The Blue SCF, sœur utérine de Rebeca LS, méritait bien une double caresse de la part de sa cavalière, Katherine A. Dinan, révélée au début des années 2010 avec le Selle Français Nougat du Vallet. Quatorzième en 2014 à Lyon de cette même échéance, l'Américaine a gagné six rangs et a conclu sa sixième finale Coupe du monde en huitième position. © Mélina Massias
Quelle formidable consécration pour Bronwyn Meredith Dos Santos et Bibisi, qualifiées lors de la saison 2023 sur la ligue africaine pour participer à la finale Coupe du monde et auteures de prestations de très bonne facture à Bâle ! Une belle récompense pour le long voyage et les diverses quarantaines qui les ont menées jusqu'en Europe. © Mélina Massias
Parfois, les choses ne se déroulent pas comme prévues, surtout dans de telles échéances. Ce fut le cas pour Pieter Devos et sa chère Casual DV, qui ont manqué leur rendez-vous après une saison hivernale remarquable. À charge de revanche. © Mélina Massias
Alise Oken et Gelvera n'ont pas brillé comme elles l'auraient souhaité non plus, mais reviendront plus forte de cette nouvelle expérience, pour l'une comme pour l'autre. © Mélina Massias
Le surpuissant Jackpot TN, fruit du croisement entre Diamant de Semilly et une fille de Verdi, a permis à son amazone, Valeria Sokolova, de signer un parcours sans-faute aux obstacles pour son entrée en compétition dans son tout premier grand championnat, sous les couleurs du Kirghizistan. Malheureusement, l'aventure s'est conclue sur une chute le lendemain. © Mélina Massias
Une caresse aussi pour le phénomène United Touch S, qui devra encore patienter avant de décrocher un premier titre. © Mélina Massias
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S'il a finalement baissé les bras avant la fin de la finale de la Coupe du monde, coupant tout espoir d'une quatrième victoire historique sur ce circuit avec Coolio 42, Marcus Ehning a pris sa revanche en remportant le CSI 3* organisé en marge de l'événement avec DPS Revere, en constante progression ! © Mélina Massias
Troisième du Grand Prix 3*, Easy Up de Grandry, un autre fils de Jarnac que monte Julien Epaillard, s'est prêté à un énième tour d'honneur ! © Mélina Massias
Le label 3* était aussi l'occasion de voir à l'œuvre un certain Picobello van't Roosakker, que l'on ne saurait se lasser d'observer. © Mélina Massias
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Vince Jarmy et sa Carbon Girl figurent en tête des belles découvertes de cette finale ! Tous deux ont conclu leur championnat au quatorzième rang. © Mélina Massias
À neuf ans, Gangster WW, fils de Lucky Won vh Bevrydthof, alias Grand Slam VDL, a dû attirer bien des regards sous la selle du Néo-Zélandais Luke Dee. En Europe, le hongre n'avait jamais affronté un tel niveau de compétition. © Mélina Massias
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Quel regret de ne pas avoir vu les si attachantes Alessandra Volpi et Gipsy Love aller au bout de leur championnat. Après trois sans-faute et un très bon classement provisoire, l'Américaine a retiré sa fille de Guidam Sohn de la compétition en raison d'une blessure au talon contractée un peu plus tôt dans la semaine par cette dernière. Gageons qu'elles reviendront défendre leurs chances à cent pourcents lors d'un prochain rendez-vous. © Mélina Massias
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Iliana, la monture du numéro un mondial, a parfaitement suppléé King Edward Ress pour l'échéance suisse, et s'est offert une honorable quatrième place. Il s'en est fallu de peu pour que Henrik von Eckermann entre un peu plus dans la légende en rejoignant le club très sélecte des triples vainqueurs de cette finale. © Mélina Massias
Le public a poussé ses deux représentants suisses, qui ont tout donné, mais se sont inclinés face à plus forts qu'eux. © Mélina Massias
Avec Gamin van't Naastveldhof, Edouard Schmitz a cruellement manqué de chance... et n'a pas été aidé par son matériel, sa martingale ayant cédé lors de la deuxième étape du championnat, lui occasionnant deux fautes. © Mélina Massias
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Martin Fuchs a tenté de relever la barre avec Hay El Desta Ali, alias Leone Jei, mais a fini par craquer. Rageant, d'autant que le Suisse était aussi présent avec Conner*Jei, qui n'a finalement pas sauté, en dehors de la warm-up. © Mélina Massias
Le superbe et charismatique Grandorado a, une nouvelle fois, fait étalage de ses qualités pour son premier grand championnat, pour une septième place finale. © Mélina Massias
Excellent compétiteur avec Robert Whitaker, Vermento sait aussi prendre la pose ! © Mélina Massias
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Sophie Hinners, qui a reçu un dernier conseil de son compagnon Richard Vogel pour son ultime parcours du week-end, a été performante avec le généreux Iron Dames*My Prins van de Dorperheide, produit de l'élevage de la famille Philippaerts. © Mélina Massias
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Fort Worth, qui succèdera à Bâle en 2026, aura fort à faire pour proposer une finale aussi réussie ! © Mélina Massias
Photo à la Une : Alessandra Volpi et Gipsy Love ont brillé en Suisse. © Mélina Massias
